- 30 oct. 2022, 23:52
#246883
Merci encore à tous pour l'intérêt que vous portez à mon récit.
A ce stade, j'en viendrais presque à demander à toutes personnes qui passerait par ce topic de se faire relayeur de ma mise en garde, du moins, dans le cadre de ses échanges sur ce forum.
J'ai lu ici, au fil des différentes rubriques, pas mal de discours anciens ou récents qui, s'ils avaient été tenus de vive voix devant un psychiatre urgentiste, auraient valu l'internement à leur auteur.
Néanmoins, je crois désormais que la souffrance exprimée à ces occasions (et dans des termes souvent semblables d'ailleurs) n'a, pour autant, effectivement pas vocation à rester sans réponses, ou plus précisément, sans réponses EFFICIENTES.
Je suis, hélas, au regret d'être en mesure de l'affirmer mais lorsque l'on se retrouve, comme moi ou pas mal d'autres ici apparemment , dans une situation que l'on perçoit comme une impasse totale, le niveau moyen de l'aide ou des conseils que l'on peut recevoir, y compris de la part des pros, est clairement pas ouf !
Je ne veux pas incriminer à tort et à travers.
Les proches, amis ou collègues ont le droit de ne pas être expert en parcours de soins.
De la même manière, la psychiatrie va souvent se révéler inadaptée ou beaucoup trop brutale mais pour les raisons structurelles, légales ou budgétaires, que vous avez tous relevé dans ce topic et qui, de fait, nous dépassent un peu.
Mais néanmoins le problème demeure et c'est très regrettable car des solutions existent.
Dans mon cas il aurait été possible de m'épargner des mois de souffrance avec pour point d'orgue un séjour au gnouf en me convaincant d'accepter une prise en charge adaptée plus tôt.
Certes ... mais couteuse me direz-vous.
Celui ou celle qui a le courage de demander votre internement a aussi le droit d'avoir le courage de vous donner 2 000 euros pour aller 1 mois en clinique me semble-t-il.
A ce stade, j'en viendrais presque à demander à toutes personnes qui passerait par ce topic de se faire relayeur de ma mise en garde, du moins, dans le cadre de ses échanges sur ce forum.
J'ai lu ici, au fil des différentes rubriques, pas mal de discours anciens ou récents qui, s'ils avaient été tenus de vive voix devant un psychiatre urgentiste, auraient valu l'internement à leur auteur.
Néanmoins, je crois désormais que la souffrance exprimée à ces occasions (et dans des termes souvent semblables d'ailleurs) n'a, pour autant, effectivement pas vocation à rester sans réponses, ou plus précisément, sans réponses EFFICIENTES.
Je suis, hélas, au regret d'être en mesure de l'affirmer mais lorsque l'on se retrouve, comme moi ou pas mal d'autres ici apparemment , dans une situation que l'on perçoit comme une impasse totale, le niveau moyen de l'aide ou des conseils que l'on peut recevoir, y compris de la part des pros, est clairement pas ouf !
Je ne veux pas incriminer à tort et à travers.
Les proches, amis ou collègues ont le droit de ne pas être expert en parcours de soins.
De la même manière, la psychiatrie va souvent se révéler inadaptée ou beaucoup trop brutale mais pour les raisons structurelles, légales ou budgétaires, que vous avez tous relevé dans ce topic et qui, de fait, nous dépassent un peu.
Mais néanmoins le problème demeure et c'est très regrettable car des solutions existent.
Dans mon cas il aurait été possible de m'épargner des mois de souffrance avec pour point d'orgue un séjour au gnouf en me convaincant d'accepter une prise en charge adaptée plus tôt.
Certes ... mais couteuse me direz-vous.
Celui ou celle qui a le courage de demander votre internement a aussi le droit d'avoir le courage de vous donner 2 000 euros pour aller 1 mois en clinique me semble-t-il.