- 17 août 2023, 20:52
#253070
J'ai pesé jusqu'à 95 kilos. J'ai eu une scolarité au lycée qui m'a beaucoup ravagée, et j'ai fini par me venger dans la bouffe, et je suis monté à 95 kilos. On peut dire que c'est peu, mais je le portais très très mal ahahah ! Je prends méchamment dans le tronche. Aujourd'hui ça va, en marchant mes 12 000 pas par jour, je me stabilise à 81 kilos pour 1m80.
Ceci étant dit, tout en me stabilisant je me trouve flasque quoi. rien de méchant, mais me mettre à poil, c'est assez terrifiant, et faire des galipettes je raconte même pas. Alors oui faudrait se mettre à la muscu et aux exercices de raffermissement. Rien de méchant, en soit.
Pour moi mon plus gros complexe, c'est le sexe en lui même, en fait. Autant j'ai une libido de dingue. Des envies de dingue, régulières. Dans mes fantasmes, dans mon esprit, on est à la limite du cirque du Soleil quand je m'imagine avoir une sexualité, mais dans les faits je suis atrocement culpabilisé, honteux et presque dégouté de mon rapport au sexe. Presque un puritain. Alors qu'intérieurement j'ai zéro tabou.
J'ai peur de l'intime car j'ai honte de la recherche du plaisir. Par exemple, le peu d'intimité que j'ai eu, autant j'étais chaud comme la braise, autant j'étais culpabilisé de faire ce que je faisais, j'avais ce sentiment de saleté, de violeur. Par exemple la fellation, très agréable pour les hommes, j'en conviens, mais je trouve ça rabaissant pour la femme. Alors on me dira que rien n'est rabaissant tant qu'une chose est faite de manière saine et consentie, mais même... Mais MA recherche du plaisir, de MON plaisir me met mal à l'aise...
Le sexe c'est à la fois une envie ardente, et une incapacité à le faire... Pourtant ça fait 200 000 ans que le sexe fait le monde. Le sexe c'est un besoin physiologique, un plaisir, un moment de partage.
Mais j'ai cette incapacité mentale à dissocier sexe et culpabilité/honte de ma propre quête du plaisir.
Il m'est déjà arrivé de longuement discuter avec des gens, des amis.
" Mais tu n'as pas l'air idiot en faisant l'amour ? Les bruits ? Le zizi dur ? L'éjaculation ? Qu'est ce qu'on se dit pendant ? " Des questions très puériles.
Ce à quoi mes amis répondent toujours : " Mais enfin, tu vis le moment ! Tu n'as pas à intellectualiser ! Tu as juste à vivre ! " La réponse bateau qui me gonfle tant elle ne m'aide pas ahaha.
Le problème c'est que voilà, intellectualiser, c'est ma nature. Le sexe c'est la spontanéité, la confiance, la sérénité. Un abri, un sanctuaire, qui si il est bâti sur l'amour, le partage et le respect, doit être le PIED des pieds.
Donc voilà, je suis complexé par le sexe. Je crois que si j'étais une femme, ça irait mieux. Ce pénis là, raide, qui rend un liquide, je sais pas je trouve ça idiot ahaha. Je trouve ça ignoble, et je pige pas comment une femme peut trouver ça érotique ou agréable... Alors moi je suis heureux d'être un homme, je n'ai pas de doutes ou de questionnement sur ma propre nature, sur mon genre, sur mon sexe.
Je sais que ce que j'écris semble obscur et difficile à cerner. Dans ma tête c'est clair, mais à coucher sur le papier, c'est un enfer ahaha.
Ceci étant dit, tout en me stabilisant je me trouve flasque quoi. rien de méchant, mais me mettre à poil, c'est assez terrifiant, et faire des galipettes je raconte même pas. Alors oui faudrait se mettre à la muscu et aux exercices de raffermissement. Rien de méchant, en soit.
Pour moi mon plus gros complexe, c'est le sexe en lui même, en fait. Autant j'ai une libido de dingue. Des envies de dingue, régulières. Dans mes fantasmes, dans mon esprit, on est à la limite du cirque du Soleil quand je m'imagine avoir une sexualité, mais dans les faits je suis atrocement culpabilisé, honteux et presque dégouté de mon rapport au sexe. Presque un puritain. Alors qu'intérieurement j'ai zéro tabou.
J'ai peur de l'intime car j'ai honte de la recherche du plaisir. Par exemple, le peu d'intimité que j'ai eu, autant j'étais chaud comme la braise, autant j'étais culpabilisé de faire ce que je faisais, j'avais ce sentiment de saleté, de violeur. Par exemple la fellation, très agréable pour les hommes, j'en conviens, mais je trouve ça rabaissant pour la femme. Alors on me dira que rien n'est rabaissant tant qu'une chose est faite de manière saine et consentie, mais même... Mais MA recherche du plaisir, de MON plaisir me met mal à l'aise...
Le sexe c'est à la fois une envie ardente, et une incapacité à le faire... Pourtant ça fait 200 000 ans que le sexe fait le monde. Le sexe c'est un besoin physiologique, un plaisir, un moment de partage.
Mais j'ai cette incapacité mentale à dissocier sexe et culpabilité/honte de ma propre quête du plaisir.
Il m'est déjà arrivé de longuement discuter avec des gens, des amis.
" Mais tu n'as pas l'air idiot en faisant l'amour ? Les bruits ? Le zizi dur ? L'éjaculation ? Qu'est ce qu'on se dit pendant ? " Des questions très puériles.
Ce à quoi mes amis répondent toujours : " Mais enfin, tu vis le moment ! Tu n'as pas à intellectualiser ! Tu as juste à vivre ! " La réponse bateau qui me gonfle tant elle ne m'aide pas ahaha.
Le problème c'est que voilà, intellectualiser, c'est ma nature. Le sexe c'est la spontanéité, la confiance, la sérénité. Un abri, un sanctuaire, qui si il est bâti sur l'amour, le partage et le respect, doit être le PIED des pieds.
Donc voilà, je suis complexé par le sexe. Je crois que si j'étais une femme, ça irait mieux. Ce pénis là, raide, qui rend un liquide, je sais pas je trouve ça idiot ahaha. Je trouve ça ignoble, et je pige pas comment une femme peut trouver ça érotique ou agréable... Alors moi je suis heureux d'être un homme, je n'ai pas de doutes ou de questionnement sur ma propre nature, sur mon genre, sur mon sexe.
Je sais que ce que j'écris semble obscur et difficile à cerner. Dans ma tête c'est clair, mais à coucher sur le papier, c'est un enfer ahaha.