Rassure-toi Alexandra, ce n'est pas moi qui fais harceler quelqu'un
je n'ai pas vu la chose sous cet angle, mais c'est vrai que ça doit faire plaisir quand on sent que l'on suscite de l'intérêt, moi en tout cas ça me ferait plaisir de suscité de l'intérêt chez une femme
. Très franchement, je ne compte rien en faire de ce crush
, je vais attendre que ça passe et étant au boulot, je suis avant tout focus sur mes tâches, on a déjà assez à faire comme ça pour en plus se rajouter une amourette par-dessus bord
. Déjà, je m'efforce à suivre la cadence, là, on est dans le dur avec mes collègues, je m'efforce d'assumer mes fonctions. Surtout en plonge, la cadence est présente en ce moment. On ne peut pas faillir, mais dans le feu de l'action le corps oubli tout, je suis tellement focus sur ma tâche que je rentre en mode hyperconcentration. Au moins c'est stimulant et le travail m'empêche littéralement de ruminer (TOC)
Et de toute façon, le sempiternel problème que nous avons sur le forum, c'est que l'on ne sait pas saisir les opportunités et à vrai dire, même si une opportunité se présentait à moi, je me dirais que la personne se fout de ma gueule et je ne le croirais même pas.
Ça a parlé TSA aujourd'hui à la pause, la fille d'une collègue se soupçonne TSA et elle harcèle les médecins à ce propos, je ne trouve pas ça productif, si on a un quelconque soupçon il est préférable de se renseigner en amont sur la bonne marche à suivre afin d'obtenir un diagnostic fiable, courir après les médecins généralistes ne va l'aider, elle devrait se renseigner sur les médecins (neuropsychologue notamment) qui pourrait lui permettre de répondre à ses questionnements.
Je ne veux surtout pas que l'on me soupçonne d'une quelconque façon de quoi que ce soit au boulot et du coup, j'étais sur mon téléphone l'air de rien, mais en réalité, j'avais envie de donner des conseils à la collègue sur la bonne marche à suivre, j'ai divers contacts de neuropsychologue dans ma région, dont de très bon neuropsychologue et qui connaissent leur sujet sur le TSA. Mais aprioris, d'après les premiers retours des médecins, rien n'indique un TSA chez la fille de ma collègue, d'ailleurs la collègue pense que sa fille cherche à obtenir un diag afin d'obtenir l'allocation adulte handicapé et ne pas travailler
. J'espère que ce n'est pas le cas et de toute manière, bon courage pour fausser les résultats des tests ! le TSA (comme pour d'autre diag), soit on là, soit on ne la pas, il n'y a pas de demi-mesure. Mais dans tous les cas, je trouve ça positif de lever le doute en cas de soupçon par un tiers personne (comme cela fut mon cas) ou si on a soi-même un doute et ça pour tout type de sujet autour de la santé mentale, le doute, ce n'est jamais très constructif. Par-ailleurs, il n'y a aucune obligation à faire la demande pour obtenir l'allocation handicap ou même ne, ce serait-ce qu'une reconnaissante de travailleur handicap, perso, même si le diag s'avérait positif (chose dont je doute au fond) je n'ai aucunement l'intention de faire une quelconque demande, autant faire la demande quand il y a une réelle utilité à le faire, en cas de besoin impérieux, le faire pour le faire et pour obtenir les largesses de l'état non merci x).
Je m'attendais comme c'est souvent le cas à de la psychophobie et un tas de préjugés, mais ça a été, les collègues n'ont pas surenchéri en donnant un avis faussé, il y a juste l'idée préconçue que si on est TSA (ou autre) on est incapable de travailler, mais ça dépend énormément du cas personnel des gens, de la sévérité et ainsi de suite, certains sont beaucoup plus résistants au monde du travail qu'il n'y paraît même avec un handicap en poche. On ne peut pas généraliser à cet égard.
J'aime les sujets autour de la psychologie, la psychiatrie, mais je ne participe jamais à ce type d'échange au travail, j'ai horreur de faire le ''petit professeur'' casse burne et ça même quand j'entends d'énormes préjugés au sujet de la psychiatrie ou autre sujet connexe.
Et moralement le retour à la normale a l'air de se profiler, je me sens déjà mieux par rapport au trois derniers jours
ce n'était qu'une petites intempéries de passage, rien de grave, à cet égard, je pense que le travail m'aide beaucoup par rapport à la toxicité de mon père, ça me permet de ne pas rester bloqué sur des sentiments négatifs. Le fait d'avoir l'esprit occupé une bonne partie de la journée ça a des bienfaits non négligeable, si je tournais en rond chez-moi ça serait déjà plus compliqué pour remonter la pente aussi rapidement, en quelque sorte, le travail m'efforce à remonter la pente rapidement.