- 22 nov. 2023, 19:38
#255013
Je pense que ça n'a rien à voir avec toi, ReMoi. Je souscris aux propos des autres : le ghosting est devenu une façon de terminer une relation, aussi triste que cela puisse paraître. Des gens se permettent de ghoster les autres parce qu'il est très facile de ne subir aucune conséquence véritable (si la personne ne fait pas partie de ton cercle d'amis ou professionnel, il y a peu de chances que tu la revoies, donc tu la ghostes).
Malheureusement, les nouvelles technologies ont permis de communiquer davantage mais ont aussi induit des comportements clairement déviants et anti-sociaux. Il y a ceux qui ont peur de devoir affronter la colère de l'autre (ça m'est arrivé, je n'en suis pas fière, mais tu peux aussi te cogner un tombereau d'insultes quand parfois tu dis gentiment la vérité), et puis il y a ceux qui ne veulent pas s'embarrasser d'avoir à s'expliquer, et qui ne voient même plus l'autre comme un être humain, parce qu'en supprimant son numéro, et en le bloquant, ils ne le verront plus jamais dans leur vie.
Je pense qu'il ne faut même pas chercher à comprendre ou expliquer. Ces gens-là sont de très mauvaises personnes.
Récemment, j'ai vécu une situation ubuesque : un type rencontré sur un SDR, on se chauffe un peu pour se voir le lendemain (le samedi), c'était clairement pour s'amuser et rien d'autre. Le samedi matin, je n'avais pas de nouvelles, je n'étais plus très motivée, et il se met à me réécrire vers midi, en me disant qu'il a très envie. Je dis clairement que je suis un peu démotivée, que j'ai la gueule de bois, etc. On passe deux heures à échanger des messages, il essaye de me remotiver, gentiment, il propose des trucs sympas, je finis par dire ok, avec plaisir.
Je lui renvoie un message dans l'après-midi pour confirmer l'heure de sa venue : il me dit vers 20h30. Parfait. Je fais le ménage, je prends ma douche, épilation, préparation, etc.
Il est 20h, je reprends mon téléphone. Il m'avait bloquée. Alors que c'était lui qui avait insisté, 6 heures avant, pour qu'on se voie.
Le lendemain, il m'a débloquée et m'a dit : je suis en couple et j'ai eu peur de venir. Je lui ai rappelé qu'il lui suffisait de me dire qu'il ne venait plus, et y'aurait pas eu de drame. J'aurais peut-être dit un "tu fais ch*er" parce que prévenir une heure avant c'est relou, mais au moins ça aurait été clair.
Il a quand même eu l'outrecuidance de me dire : bon si jamais ça te dit toujours, tes conditions seront les miennes. Je lui ai demandé s'il plaisantait, et de ne plus jamais m'écrire...
Malheureusement, les nouvelles technologies ont permis de communiquer davantage mais ont aussi induit des comportements clairement déviants et anti-sociaux. Il y a ceux qui ont peur de devoir affronter la colère de l'autre (ça m'est arrivé, je n'en suis pas fière, mais tu peux aussi te cogner un tombereau d'insultes quand parfois tu dis gentiment la vérité), et puis il y a ceux qui ne veulent pas s'embarrasser d'avoir à s'expliquer, et qui ne voient même plus l'autre comme un être humain, parce qu'en supprimant son numéro, et en le bloquant, ils ne le verront plus jamais dans leur vie.
Je pense qu'il ne faut même pas chercher à comprendre ou expliquer. Ces gens-là sont de très mauvaises personnes.
Récemment, j'ai vécu une situation ubuesque : un type rencontré sur un SDR, on se chauffe un peu pour se voir le lendemain (le samedi), c'était clairement pour s'amuser et rien d'autre. Le samedi matin, je n'avais pas de nouvelles, je n'étais plus très motivée, et il se met à me réécrire vers midi, en me disant qu'il a très envie. Je dis clairement que je suis un peu démotivée, que j'ai la gueule de bois, etc. On passe deux heures à échanger des messages, il essaye de me remotiver, gentiment, il propose des trucs sympas, je finis par dire ok, avec plaisir.
Je lui renvoie un message dans l'après-midi pour confirmer l'heure de sa venue : il me dit vers 20h30. Parfait. Je fais le ménage, je prends ma douche, épilation, préparation, etc.
Il est 20h, je reprends mon téléphone. Il m'avait bloquée. Alors que c'était lui qui avait insisté, 6 heures avant, pour qu'on se voie.
Le lendemain, il m'a débloquée et m'a dit : je suis en couple et j'ai eu peur de venir. Je lui ai rappelé qu'il lui suffisait de me dire qu'il ne venait plus, et y'aurait pas eu de drame. J'aurais peut-être dit un "tu fais ch*er" parce que prévenir une heure avant c'est relou, mais au moins ça aurait été clair.
Il a quand même eu l'outrecuidance de me dire : bon si jamais ça te dit toujours, tes conditions seront les miennes. Je lui ai demandé s'il plaisantait, et de ne plus jamais m'écrire...