Appel à témoins de journalistes pour des reportages ou documentaires.
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par LucienArp
Homme de 24 ans vierge
#255329
Elanawap09 a écrit : 24 nov. 2023, 05:42 J’ai une absence totale de confiance en moi. Pendant l’adolescence, j'ai été victime de nombreuses moqueries et cela m'a bloqué –je mesure plus de 2 m et, à l’époque, j’étais filiforme. J'étais renfermé sur moi même. A 17 ans, je ne pensais pas aux garcons, mais plutôt à me cacher le plus possible. J’ai donc fait du sport et m’y suis investi à fond.J'ai passé beaucoup de mes temps au casino. C’est presque devenu une obsession. Je me suis fait des amis et les années ont passées. J'ai d'abord cherché à avoir une vie stable, équilibrée…Et puis, un jour, quand tous les copines sont casés, vous vous retrouvez seule. Et vous réalisez qu'il y a un problème. A 25 ans, j'ai donc commencé à sortir un peu. Maintenant, je suis toujours dans la même situation, mais je me sens mieux et je fais le nécessaire pour passer à l'acte (je m’inscris dans des cours de danse, par exemple).
Il est tout à fait normal de ressentir le besoin de parler de sa virginité tardive à un psychologue ou à un thérapeute. Ces professionnels m'ont offert un soutien et des conseils pour aborder cette question. Entamer une thérapie peut aider à explorer les émotions et les pensées liées à la virginité tardive, ainsi qu'à développer des stratégies pour avancer.
Bon courage. J'ai aussi des problèmes de confiance en moi suite à du harcèlement scolaire. J'hésite à commencer une thérapie.
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par Eno
Homme de 41 ans non vierge
#255359
Pour ma part, cela fait une dizaine d'années que je suis dans le circuit psychiatrique, donc en thérapie. Avec des psychiatres (parfois) et des psychologues (souvent). Je préfère largement ces derniers. Le psychiatre est avant tout un médecin, son approche est (à mon goût) trop "médicale", ça ne correspond pas vraiment à ma personnalité. Ça n'empêche pas d'avoir des rapports cordiaux avec mon psychiatre actuel, mais j'y vais avant tout par obligation. Avec les psychologues c'est différent, je prends un réel plaisir à cet espace d'échange qui m'est offert.

Il n'y a aucun problème pour parler de sexualité je pense. Il faut juste y aller doucement, pas en mode bourrin et ne parler que de ça tout le temps. Certaines personnes sont plus à l'aise que d'autres avec ça, même chez les psy. Ma précédente psychologue était très détendue sur le sujet, l'actuelle je prends plus de pincettes, parce que je ne veux pas que mes intentions soient mal interprétées. Je sais pas trop pourquoi, mais je sens que ça passe moins bien. Du coup les évocations se font plus discrètes.

Ça ne change rien à la qualité de l'échange, et aux bienfaits d'avoir un espace de discussion intime et de confiance (soumis au secret médical). Étant proche de la phobie sociale, et donc rencontrant peu de gens, ça prend encore plus de sens. Heureusement que j'ai cette bulle d'oxygène dans mon quotidien.
Nectaris, Luo aime ça
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par Luo
Homme de 37 ans vierge
#255415
En m'inscrivant sur ce forum je m'étais dit qu'en même temps j'irais voir un(e) psychologue, puis finalement de parler de temps en temps par écrit ici ça m'aide déjà beaucoup et ma virginité tardive je l'assume donc bon. Oui il y a certaines choses que je pourrais évoquer, comme le fait de me sentir vraiment différents des autres, mais bon je peux en parler ici aussi.

J'ai vu une fois une psychologue pendant un an plus jeune vers 24 ans et ça m'avais aidé, j'en avais besoin, car je galérais sur le plan pro et voulais régler cela.

Et une sexologue, ça ne peut pas aider concernant la virginité tardive ?