- 11 mars 2018, 20:09
#208909
Je peux regarder une fille pendant longtemps, sans même penser ne serait-ce qu'une seule seconde à coucher avec elle...
Regarder une personne ne veut pas dire ce que tu sous-entends. Les gens n'ont pas tous de mauvaises intentions.
Si un homme te regarde sans oser t'aborder, c'est qu'il peut avoir peur et se sentir intimidé, avoir peur de l'échec, peur de se sentir rembarré. Et dans un sens, je les comprends, puisqu'à la minute où ils t'approcheraient, j'ai l'impression que tu commencerais déjà à douter d'eux voire même à les condamner.
Pour ma part, il m'est très difficile d'aborder une personne, surtout si elle me plait. Quand je suis vraiment intéressé, j'essaie de me forcer, d'aller de l'avant, de fermer les yeux, et je fonce. (ça peut prendre des mois, mais bon)
J'avais tendance à avoir le même genre de réactions, mais je peux attester que cela ne sert à rien. Les gens ne viennent pas vers nous si on les méprise.
Au lieu d'en vouloir à la Terre entière, je pense qu'il faut accepter de se remettre en question, car le dénominateur commun dans nos relations avec autrui, c'est bien nous.
Regarder une personne ne veut pas dire ce que tu sous-entends. Les gens n'ont pas tous de mauvaises intentions.
Si un homme te regarde sans oser t'aborder, c'est qu'il peut avoir peur et se sentir intimidé, avoir peur de l'échec, peur de se sentir rembarré. Et dans un sens, je les comprends, puisqu'à la minute où ils t'approcheraient, j'ai l'impression que tu commencerais déjà à douter d'eux voire même à les condamner.
Pour ma part, il m'est très difficile d'aborder une personne, surtout si elle me plait. Quand je suis vraiment intéressé, j'essaie de me forcer, d'aller de l'avant, de fermer les yeux, et je fonce. (ça peut prendre des mois, mais bon)
J'avais tendance à avoir le même genre de réactions, mais je peux attester que cela ne sert à rien. Les gens ne viennent pas vers nous si on les méprise.
Au lieu d'en vouloir à la Terre entière, je pense qu'il faut accepter de se remettre en question, car le dénominateur commun dans nos relations avec autrui, c'est bien nous.