- 15 janv. 2014, 00:13
#100741
Mh, l'absence de sexualité qui mène au cancer, je suis pas convaincu.
Cela vient peut-être de la définition médicale d'une maladie psychiatrique, qui est "un comportement s'éloignant de la moyenne", avec tous la subjectivité que cela suppose.
Elias a écrit : Il y a deux réactions qui me chagrinent quand on parle d’asexualité:Très souvent, les personnes adoptant un comportement peu fréquent sont considéré comme "malade". D'ailleurs l'homosexualité a été considéré comme une maladie psychiatrique jusque dans les années 1990. Voire des opinions politiques minoritaires dans certains régime.
1. La médicalisation abusive: considérer l’asexualité comme une maladie, alors même que la plupart du temps il n’y a pas de demande des personnes concernées d’être «soignées» de leur asexualité.
2. Le déni: «l’asexualité ça n’existe pas», souvent en utilisant la médicalisation pour justifier ce point de vue péremptoire («il n’y a pas d’asexuel·le·s, il n’y a que des gens coincés/névrosés/avec des problèmes de libido»).
Cela vient peut-être de la définition médicale d'une maladie psychiatrique, qui est "un comportement s'éloignant de la moyenne", avec tous la subjectivité que cela suppose.
Weird & proud
"Ce concombre est amer ? Jette-le ! Il y a des ronces dans le chemin ? Détourne-toi ! C’est tout ce qu’il faut. Ne dis pas à ce sujet : « Pourquoi ces choses-là se trouvent-elles dans le monde ?" - Marc Aurèle
"Ce concombre est amer ? Jette-le ! Il y a des ronces dans le chemin ? Détourne-toi ! C’est tout ce qu’il faut. Ne dis pas à ce sujet : « Pourquoi ces choses-là se trouvent-elles dans le monde ?" - Marc Aurèle