[Everest]

En aucun cas , il ne faut te sentir coupable de ta situation.....
J'ai lu une phrase l'autre jour qui disait que le temps à venir est plus important que le temps passé.......

[Florent]

On a quand même pas mal de points communs tous les 2, JaneDarc.
Le petit frère violent et l'oncle incestueux en moins.

Eh oui, dur d'avoir de l'estime de soi qu'on a sans cesse été rabaissé et violenté par sa propre famille.
Mais voilà : tu n'es coupable de rien. Ce sont eux qui doivent avoir honte, pas toi.

désordre, les gens qui font des gosses et qui les maltraitent... Mince, un gosse est un être humain, il n'a pas demandé à venir au monde, il n'est responsable de rien, et surtout pas des malheurs des parents ou de la famille.

[JaneDarc]

Salut,
Désolée de n'avoir pas répondu plus tôt mais je ne viens pas souvent sur le forum et j'avoue, en général j'ai la flemme. Mais merci d'avoir pris la peine de réagir à mon "cas"

@LiPo je ne dirais rien car on a déjà eu l'occasion de parler de tout ça mais effectivement si j'ai réussi à partir une fois, alors pourquoi pas une deuxième ?

Par ailleurs, on peut avoir un chez-soi tout en étant assez en retrait du " monde ", si on ne se sent pas d'y replonger tout de suite. Là encore, c'est du vécu.

C'est à dire ?
Et oui, j'ai envisagé la colocation. Au début, j'étais contre mais je m'étais dit qu'au final ça serait un bon compromis entre vivre loin de chez mes parents tout en étant pas seule. Et aussi un moyen d'améliorer ma sociabilité. Mais le problème est toujours le fait de ne pas avoir de travail. Si on a du bon sens, on prend pas de location/colocataire sans emploi.

Effectivement @Florent après avoir lu ta présentation, on a des points communs. En même temps comment avoir une vie affective quand on vous a pas montrer l'exemple mais que les relations hommes/femmes sont basées sur la violence..

désordre, les gens qui font des gosses et qui les maltraitent... Mince, un gosse est un être humain, il n'a pas demandé à venir au monde, il n'est responsable de rien, et surtout pas des malheurs des parents ou de la famille.

On devrait graver ça sur les murs des maternités pour le rappeler aux futurs parents ou sur les emballages des préservatifs !

[Lereveur]

Par ailleurs, on peut avoir un chez-soi tout en étant assez en retrait du " monde ", si on ne se sent pas d'y replonger tout de suite. Là encore, c'est du vécu.

C'est à dire ?

Oh, c'est tout simple : tu ne sors de chez toi que pour les courses et / ou le boulot, ou les activités comprenant peu ou pas d'interactions avec autrui (ciné, promenade...).

(Du reste, même quand je cherche activement à rencontrer de nouvelles têtes - enfin plus particulièrement des têtes féminines - je me casse le crâne à trouver un bon moyen de sortie, et quand c'est rarement le cas, ce n'est guère couronné de succès . Rester avec sa propre compagnie, c'est très facile dans notre société actuelle.)

[XXXV]

Mon père n’a jamais levé la main sur moi mais ma mère s’en donnait à cœur joie. Il me semble que ma sœur y a échappé. Elle se défoulait sur moi parce que mon père était violent avec elle (physiquement mais aussi verbalement).