- 31 mai 2022, 19:48
#243496
Faire baisser le niveau d'alcoolémie toléré au volant, par exemple, "on faisait très bien sans avant", mais on fait quand même bien mieux depuis. Idem pour l'interdiction de la clope dans les lieux publics clos : "je faisais très bien sans avant", mais n'empêche que je pense qu'on apprécie tous de ne plus sentir la clope au resto, même les fumeurs, en fait.
On a pu tous constater qu'on a passé deux ans sans tomber malade. Moi qui me chope 3 rhumes dans l'année, une gastro, depuis 2020, rien (à part le covid). Oui, le masque, ça a aidé. Systématiser le lavage des mains aussi (ce que personnellement j'ai toujours fait).
Je n'essaye pas de t'accabler ou de t'empêcher de poster ici. Mais tu proposes des arguments, j'y réponds. En l'occurrence, "on faisait bien sans avant", ça peut être utilisé pour n'importe quelle nouveauté en termes de sécurité, de santé, de technologie même. Ca ne veut pas dire pour autant qu'il faut renoncer à ce qu'on a découvert — et savoir aussi prendre du recul. Est-ce que porter un masque est une telle contrainte, lorsqu'il s'agit simplement des endroits bondés ?
Ma liberté, personnellement, je ne la mesure pas à ce qu'on me demande de porter 1h par jour sur le visage. Mais bon.
MathSo a écrit : ↑28 mai 2022, 23:10 Ce qui est étonnant, c'est qu'avant l'épidémie de covid, on faisait bien sans pourtant. Et on y trouvait rien à redire.Ton discours du "on faisait très bien sans avant", c'était le discours utilisé par les anti ceinture de sécurité quand celle-ci a été rendue obligatoire. Voilà pourquoi je fais la comparaison, parce que c'est exactement ce même discours dès lors qu'on fait de la prévention ou qu'on fait passer une loi pour améliorer la santé et la sécurité des personnes.
Faire baisser le niveau d'alcoolémie toléré au volant, par exemple, "on faisait très bien sans avant", mais on fait quand même bien mieux depuis. Idem pour l'interdiction de la clope dans les lieux publics clos : "je faisais très bien sans avant", mais n'empêche que je pense qu'on apprécie tous de ne plus sentir la clope au resto, même les fumeurs, en fait.
On a pu tous constater qu'on a passé deux ans sans tomber malade. Moi qui me chope 3 rhumes dans l'année, une gastro, depuis 2020, rien (à part le covid). Oui, le masque, ça a aidé. Systématiser le lavage des mains aussi (ce que personnellement j'ai toujours fait).
Je n'essaye pas de t'accabler ou de t'empêcher de poster ici. Mais tu proposes des arguments, j'y réponds. En l'occurrence, "on faisait bien sans avant", ça peut être utilisé pour n'importe quelle nouveauté en termes de sécurité, de santé, de technologie même. Ca ne veut pas dire pour autant qu'il faut renoncer à ce qu'on a découvert — et savoir aussi prendre du recul. Est-ce que porter un masque est une telle contrainte, lorsqu'il s'agit simplement des endroits bondés ?
Ma liberté, personnellement, je ne la mesure pas à ce qu'on me demande de porter 1h par jour sur le visage. Mais bon.