- 23 nov. 2011, 22:38
#47330
Voilà à mon tour de raconter l'échec de ma vie privée, dont j'ai donné quelques bribes dans ma présentation.
(note : chaque personne est désignée par un faux prénom, pour éviter que quelqu'un qui connait l'une d'elle risque de faire le rapprochement.. on est jamais trop prudent sur internet).
Voilà donc pour commencer à l'adolescence, très isolé dès cette époque, le genre rat de bibliothèque, avec des parents surprotecteurs en plus. Je ne sortais jamais, à peine une poignée d'amis, souvent sujet de moqueries, en partie à cause de ma petite taille.
Ensuite, études supérieures, dans une école d'ingénieur privée orientée électronique.90% de garçons. Ma vie privée restera donc pendant tout ce temps au niveau zéro, surtout que je continue à habiter chez mes parents.
Il n'y a qu'en dernière année que ça s'améliore un peu, notamment parce que je particupe au club de rock 4 temps. J'y ai l'occasion de nouer quelques contacts féminins, mais aucun ne deviendra plus qu'une vague amitié.
Puis après une période de chomage que j"'ai très mal cvécu (dépression très forte), je décroche un emploi d'ingénieur dans une entreprise à pmrès de 500 km de distance. J'espère que le fait de m'éloigner de mes parents m'aidera à avoir enfin une vie privée. Au contraire, le fait de m'éloigner de mes rares amis, et de quitter le milieu étudiant m'enferme plus que jamais dans l'isolement. Je n'ai tjrs pas eu la moindre relation romantique, pas même un simple rendez vous.
Mes collègues sont à peu près tous mariés, les 2/3 ont des enfants, je n"'ai donc plus la possibilité de sortir avec qui que ce soit pour faire des connaissances. Ma seule forme de vie privée c'est les personnes que je connais sur internet, avec qui 'jéchange régulièrement. Une taiwanaise qui est alors apprentie orfèvre, par exemple.
Après un gros passage dépressif je reprend une psychothérapie et des antidépresseurs, mi 2010. Et depuis en continu, je vois un psy une fois par semaine.
Un peu après j'ai enfin, un peu par hasard, rencontré la bonne personne. Même complètement par hasard : par le biais d'un français qui est l'ex petit ami à distance d'une de mes "amies internet" (une chinoise)! C'est une chinoise (une autre) qui vit en france. Elle est ingénieur. Surprise, elle travaille avec quelqu'un avec qui j'ai fait mes études (le monde est petit). Elle habite à 500 km de mon actuel chez moi, mais dans la même ville que mes parents, j'ai donc la possibilité de la voir quand je leur rend visite. On est sorti ensemble 5 ou 6 fois, au rythme d'environ une fois par mois. Une fois au cinéma, une fois un restaurant... Bien sur, la culture chinoise étant ce qu'elle est, les choses avancent len*... te... ment.
Et puis catastrophe. en février, je rencontre quelqu'un d'autre, dans ma nouvelle ville. Une coréenne, divorcée, qui a repris des études et est en france pour l'année, pour apprendree le français. On a une aventure rapide, mais d'aucune signification, d'autant qu'elle ne peux pas rester en france. Ca dure quatre moi. C'est elle qui m'a dépucelé. Mais rapidement notre relation ne marche pas, elle est extrêmement possessive et jalouse, moi, extrêmement solitaire et indépendant. Ca dure quand même tant bien que mal jusqu'aux adieux à roissy lorsqu'elle repart en corée.
Je me rend compte alors que je n'ai pas oublié la chinoise, que c'est elle qui me ressemble, qui est faite pour moi. Mais entre temps, elle n'est plus célibataire. Elle a quelqu'un.
Et c'est comme çà que j'ai fini seul. Je n'ai pas eu la patience de gagner celle que j'aimais, j'ai perdu mon temps avec la première venue, et j'ai plus qu'à passer le reste de ma vie à le regretter.
(note : chaque personne est désignée par un faux prénom, pour éviter que quelqu'un qui connait l'une d'elle risque de faire le rapprochement.. on est jamais trop prudent sur internet).
Voilà donc pour commencer à l'adolescence, très isolé dès cette époque, le genre rat de bibliothèque, avec des parents surprotecteurs en plus. Je ne sortais jamais, à peine une poignée d'amis, souvent sujet de moqueries, en partie à cause de ma petite taille.
Ensuite, études supérieures, dans une école d'ingénieur privée orientée électronique.90% de garçons. Ma vie privée restera donc pendant tout ce temps au niveau zéro, surtout que je continue à habiter chez mes parents.
Il n'y a qu'en dernière année que ça s'améliore un peu, notamment parce que je particupe au club de rock 4 temps. J'y ai l'occasion de nouer quelques contacts féminins, mais aucun ne deviendra plus qu'une vague amitié.
Puis après une période de chomage que j"'ai très mal cvécu (dépression très forte), je décroche un emploi d'ingénieur dans une entreprise à pmrès de 500 km de distance. J'espère que le fait de m'éloigner de mes parents m'aidera à avoir enfin une vie privée. Au contraire, le fait de m'éloigner de mes rares amis, et de quitter le milieu étudiant m'enferme plus que jamais dans l'isolement. Je n'ai tjrs pas eu la moindre relation romantique, pas même un simple rendez vous.
Mes collègues sont à peu près tous mariés, les 2/3 ont des enfants, je n"'ai donc plus la possibilité de sortir avec qui que ce soit pour faire des connaissances. Ma seule forme de vie privée c'est les personnes que je connais sur internet, avec qui 'jéchange régulièrement. Une taiwanaise qui est alors apprentie orfèvre, par exemple.
Après un gros passage dépressif je reprend une psychothérapie et des antidépresseurs, mi 2010. Et depuis en continu, je vois un psy une fois par semaine.
Un peu après j'ai enfin, un peu par hasard, rencontré la bonne personne. Même complètement par hasard : par le biais d'un français qui est l'ex petit ami à distance d'une de mes "amies internet" (une chinoise)! C'est une chinoise (une autre) qui vit en france. Elle est ingénieur. Surprise, elle travaille avec quelqu'un avec qui j'ai fait mes études (le monde est petit). Elle habite à 500 km de mon actuel chez moi, mais dans la même ville que mes parents, j'ai donc la possibilité de la voir quand je leur rend visite. On est sorti ensemble 5 ou 6 fois, au rythme d'environ une fois par mois. Une fois au cinéma, une fois un restaurant... Bien sur, la culture chinoise étant ce qu'elle est, les choses avancent len*... te... ment.
Et puis catastrophe. en février, je rencontre quelqu'un d'autre, dans ma nouvelle ville. Une coréenne, divorcée, qui a repris des études et est en france pour l'année, pour apprendree le français. On a une aventure rapide, mais d'aucune signification, d'autant qu'elle ne peux pas rester en france. Ca dure quatre moi. C'est elle qui m'a dépucelé. Mais rapidement notre relation ne marche pas, elle est extrêmement possessive et jalouse, moi, extrêmement solitaire et indépendant. Ca dure quand même tant bien que mal jusqu'aux adieux à roissy lorsqu'elle repart en corée.
Je me rend compte alors que je n'ai pas oublié la chinoise, que c'est elle qui me ressemble, qui est faite pour moi. Mais entre temps, elle n'est plus célibataire. Elle a quelqu'un.
Et c'est comme çà que j'ai fini seul. Je n'ai pas eu la patience de gagner celle que j'aimais, j'ai perdu mon temps avec la première venue, et j'ai plus qu'à passer le reste de ma vie à le regretter.