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par Stephan
ans
#49690
Bienvenu lereveur ,




ça c'est tout moi
Lereveur a écrit : je me balade avec la sensation constante qu'aucune femme sur Terre n'accepterait d'être touchée par un type comme moi.
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par alphanum
35 ans non vierge
#49693
Bonsoir
superflu a écrit : Je ne suis pas sur que se focaliser sur l'affectif est le mieux. Peut être que se sentir bien en général t'aidera beaucoup.
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Je suis même sûre qu'il faut être bien avant de chercher à tout prix à se caser (même si c'est plus facile à dire qu'à faire^^); un gars bien dans ses baskets - ou au moins passionné par quelquechose - sera beaucoup plus attrayant que le même qui cherche une copine-solution.
Lereveur a écrit :Je pense que marquer un point (fondamental) sur l'affectif me permettra de me sentir mieux en général. Laisser l'affectif de côté, ça veut dire laisser pourrir la situation sur ce plan... Niveau pro, je peux encore prendre mon temps, niveau coeur, plus maintenant. De plus, la chose ne quittant plus mon esprit, je pense que je n'ai pas besoin de signe d'alerte supplémentaire pour dire qu'il faut agir.
Nan, ça veut dire travailler sur toi-même pour mettre toutes les chances de ton côté le moment venu.
Tu ne peux pas compter sur ta future copine pour te "guérir", c'est trop lourd à porter; ça risque de la faire fuir.
par jeje
ans
#49696
Pour moi tout ce discours c'est du politiquement correct.

Je ne pense pas qu'il compte sur son éventuelle copine pour le "guérir", juste que quand tu es bien avec quelqu'un c'est plus facile de surmonter certaines choses.
Et là je parle en connaissance de causes.

Je pense que ce que beaucoup ont du mal à comprendre, c'est que parfois on arrive à un tel stade qu'on peut faire ce qu'on veut, avoir des passions, celles-ci à la longue deviennent fades et présentent de moins en moins d'intérêt parce que le manque affectif prends le dessus.

A une époque je vivais pour la musique, à défaut d'avoir autre chose dans ma vie. C'est ça qui me gardait "éveillé". Mais aujourd'hui ça ne suffit plus. Pire, je prends de moins en moins de plaisir à en faire.
Pourquoi ? Parce que ça ne me suffit plus.
J'ai beau avoir un job que j'aime, de nouvelles perspectives d'avenir, une famille formidable, des amis qui m'aiment et sur qui je peux compter, j'ai un manque dans ma vie.
Un manque que je n'avais pas quand j'étais avec elle. Avec elle je peux dire que j'étais pour la première fois depuis très longtemps, vraiment heureux.

Toutes ses histoires de "travail sur soi", "vivre pour soi", ça colle bien avec notre société individualiste. Ce n'est pas comme ça que j'envisage la vie. Ça ne veut pas dire non plus que je compte sur quelqu'un exclusivement pour être heureux. Tout n'est pas blanc, tout n'est pas noir.
par alphanum
35 ans non vierge
#49710
Oui tout est plus facile quand on a quelqu'un à aimer, je suis tout à fait d'accord. Et je suis sûre que certain(e)s seraient ravi(e)s d'avoir un tel effet bénéfique sur leur copain/ine...
Mais pour avoir été dans cette situation (même s'il ne faut pas généraliser, je ne suis pas une référence, loin de là), je peux te dire que ça met beaucoup de pression... Si elle a suffisamment confiance en elle, ça doit pouvoir le faire. Mais si elle n'est pas assez solide, toute cette tension peut faire des dégâts. (Au début je trouvais ça presque mignon, et puis peu à peu j'ai commencé à douter, j'avais la sensation de ne pas être à la hauteur de cet amour, puis la peur de le décevoir ou de ce qui pourrait arriver si notre relation ne marchait pas (il me disait que notre histoire était la seule chose bien dans sa vie; qu'au boulot ça n'allait pas mais qu'il tenait pour moi; que telle chose était dure mais qu'il le faisait pour moi...), puis comme une sensation d'emprisonnement... Alors bien sûr, ça se serait sûrement mieux passé si on avait su communiquer davantage; et encore une fois je ne suis pas un modèle de confiance en soi; mais je reste persuadé que compter sur sa future copine pour aller mieux, ce n'est pas la meilleure solution)

Je comprends ce que tu veux dire, quand plus rien ne suffit; et je sais bien que c'est difficile de se concentrer sur autre chose. Mais le problème, c'est que ça se ressent (plus ou moins inconsciemment), et que ça n'attire pas les filles...

Par contre je ne suis pas d'accord avec toi, le fait de travailler sur soi n'a rien d'individualiste à mes yeux. C'est juste une façon d'essayer d'offrir ce qu'on a de mieux aux autres, et de ne pas les embêter avec nos problèmes...
Avatar de l’utilisateur
par Lereveur
Homme de 42 ans non vierge
#49711
Alphanum, je suis sur la même longueur d'onde que jeje ; au cours des dernières années, je me suis plus ou moins lancé dans des activités : dessin, écriture, petite aide dans l'associatif...

Je tiens à préciser qu'avec le dessin, il m'est arrivé de ressentir du plaisir, pas au sens sexuel, mais une sensation de bien-être lorsque une création prenait la tournure souhaitée, et j'étais content quand des gens m'inspiraient et eux-mêmes étaient heureux quand je faisais quelque chose à leur intention ; quant à l'écriture, elle m'a permis de rire et de faire rire.

Seulement, comme l'a si bien dit jeje, au bout d'un moment, ça ne suffit plus, on se sent las, sans inspiration, même si on a encore envie de faire quelque chose dans ce domaine, il faut presque se faire violence.

Je suis convaincu qu'il faut que je me débarrasse " maintenant " du poids de la virginité qui bloque presque toute avancée dans ma réflexion (c'est pourquoi je suis demandeur de conseils ici), afin d'en tirer des enseignements et d'envisager la suite plus sereinement.
par alphanum
35 ans non vierge
#49713
Si c'est ta virginité en tant que telle qui te bloque, et si aller voir une professionnelle peut te permettre d'avancer (ne serait-ce que de te rassurer), vas-y. De toute façon (si tu ne fais pas n'importe quoi, et que ça ne te pose pas de problème d'ordre moral), ça ne te fera pas de mal...

Il y a une question que je me posais: dans quelles circonstances vous faites des rencontres ? (En réfléchissant je me suis rendue compte que mon raisonnement n'était valable que lorsque l'on passe un peu de temps et que l'on prend le temps de discuter avant d'engager quoi que ce soit...)
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par Lereveur
Homme de 42 ans non vierge
#49716
Comme je l'ai déjà dit, une professionnelle ne me semble pas être la panacée si je puis dire, mais en l'état actuel c'est la seule manière d'avancer qui me semble à portée.

Par ailleurs, moi, une fille décalée, qui se sentirait mal, ça ne me fait pas fuir, du moment que c'est quelqu'un de bien, d'intéressant, et je serais très content de l'aider... je n'aime pas cette espèce d'exigence de " sans défauts et sans faiblesses, en tout temps et en tout lieu " de la société actuelle...

Pour répondre à ta question, alphanum, essentiellement, le point de départ, ce sont une poignée de forums, qui aboutissent donc à des IRLs, puis parfois à des développements ultérieurs.

Exemple bateau : Fofo -> plusieurs IRLs -> création d'un petit groupe de rôlistes avec certaines personnes devenant des amis, avec plusieurs rencontres -> et de temps en temps, augmentation du cercle des connaissances : j'accepte de participer à l'anniversaire-surprise d'un de mes amis, et je rencontre des ami(e)s d'amis ainsi que leur(s) petit(e)s copains / copines respectifs / respectives.

Sinon, parfois c'est le voisinage, ou alors lors d'une participation ponctuelle à une activité.

Je mets de côté les sites de rencontres, totalement inefficaces, et les soirées " je-ne-connais-personne-et-je-ne-suis-pas-à-l'aise ".

A ce jour, ça m'a permis de cotoyer et de temps en temps sympathiser avec des membres du sexe opposé, mais rien de plus. En tout cas j'aime bien discuter.
par superflu
43 ans vierge
#49719
c'est toujours interressant de lire les autres, ça permet de réfléchir sur soit. À l'évidence, il y a 4ans quand j'ai commencé à faire ma maison, c'était sûrement une façon de m'occuper l'esprit et ne pas me sentir seul. Depuis 1 à 2 ans j'envisage une reconversion professionnelle. Nouveau défi pour se voiler la face peut être. C'est une forme d'équilibre qui va peut être aller un temps. C'est vrai que parfois j'ai une impression de vide que je n'arrive ni à combler ni à expliquer. Mais trouver quelqu'un pour être heureux... J'aurais l'impression de me moquer d'elle, une certaine forme d'égoïsme. Attendre mon bonheur au dépend de quelqu'un. Surtout lorsque je regarde les annonces sur les sites de rencontres ou beaucoup cherchent un produit manufacturé à leur convenance sans inconvénients. La vie est un combat et on préfère régler ses problèmes de couple en se séparant. C'est l'ère du prêt à consommer, du jetable. Mais ce n'est pas le sujet et je suis un peu perdu dans ma réflexion... Bref tout ça pour dire que se sentir bien dans sa vie n'est en effet pas forcément le meilleur début. À chacun de voir selon sa personnalité
par jeje
ans
#49720
alphanum a écrit :Je comprends ce que tu veux dire, quand plus rien ne suffit; et je sais bien que c'est difficile de se concentrer sur autre chose. Mais le problème, c'est que ça se ressent (plus ou moins inconsciemment), et que ça n'attire pas les filles...
Ça ne les attirait pas plus quand j'étais encore heureux du peu de choses que j'avais.
par alphanum
35 ans non vierge
#49731
Lereveur a écrit : Par ailleurs, moi, une fille décalée, qui se sentirait mal, ça ne me fait pas fuir, du moment que c'est quelqu'un de bien, d'intéressant, et je serais très content de l'aider... je n'aime pas cette espèce d'exigence de " sans défauts et sans faiblesses, en tout temps et en tout lieu " de la société actuelle...
Je ne parlais pas de ce que l'on peut vouloir, mais de ce que l'on ressent; et je continue de penser que quelqu'un d'heureux/bien dans sa peau, même momentanément, aura plus de charisme... et aura donc plus de succès au tout début.
Lereveur a écrit : Pour répondre à ta question, alphanum, essentiellement, le point de départ, ce sont une poignée de forums, qui aboutissent donc à des IRLs, puis parfois à des développements ultérieurs.

Exemple bateau : Fofo -> plusieurs IRLs -> création d'un petit groupe de rôlistes avec certaines personnes devenant des amis, avec plusieurs rencontres -> et de temps en temps, augmentation du cercle des connaissances : j'accepte de participer à l'anniversaire-surprise d'un de mes amis, et je rencontre des ami(e)s d'amis ainsi que leur(s) petit(e)s copains / copines respectifs / respectives.

Sinon, parfois c'est le voisinage, ou alors lors d'une participation ponctuelle à une activité.
Des situations dans lesquelles on peut faire connaissance donc. A mes yeux c'est dans ces situations qu'une passion peut aider: en abordant le sujet, ça te permet de ne pas être un-parmi-tant-d'autres, de remarquer celle(s) qui ont des points communs avec toi, ça te donne un sujet de conversation tout trouvé et, pour un peu que les autres décrochent au bout d'un moment, l'opportunité de discuter seul avec elle... (enfin je suppose que lors des IRL vous parlez principalement du jeu)
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