- 14 févr. 2024, 16:37
#256773
Hmm... je suis allée voir May December hier (encore un film que je regarde sur un coup de tête mais là vu l'histoire chelou j'ai utilisé un ticket ciné gratis que j'avais gagné, ben ouais, pas envie de payer pour ça).
Que dire, bah chelou, oui. La même musique dramatique (notes de piano en tonalité mineure... me demandez pas quelle note, j'ai toujours été nulle en solfège) qui marque certaines scènes comme si elle signalait un nouveau chapitre ou la fin d'un chapitre... ou peut-être comme au théâtre genre acte I, acte II, etc. Sans cette musique, le film perdrait un peu son côté dramatique, car la majorité des scènes sont très ordinaires.
Comme d'hab, difficile de m'identifier à des comportements ou rites de passage... genre fumer un joint c'est "censé" être la base, hein, le truc à faire quand on est ado... euh OK lol Ou peut-être que c'est juste un moyen pour interpeler les spectateurs sur son adolescence gâchée, écourtée. Et puis la justification du sexe juste pour du sexe : "C'est ce que les adultes font." Euhh, cheating is not a mature thing to do, ma'am, ça n'a rien à voir avec le fait d'être adulte. Et lier la connexion émotionnelle avec le sexe n'a rien à voir avec le fait d'avoir une mentalité enfantine ou naïve. Bref. Le message est passé, on veut nous montrer que le pauvre gars de 36 ans a raté sa jeunesse et supporte une femme à présent soixantenaire, dépendante amoureuse, angoissée et immature, un peu dans le contrôle.
La dernière scène avec le serpent était creepy... le réalisateur est en train de nous dire que c'est elle le serpent ? Qu'elle a reproduit l'inceste qu'elle avait subi ? En tous cas, à un moment je l'ai insultée (dans ma tête) en anglais, cette dame (le film était en VOST), c'est un gros délire cette histoire, bien perverse, elle n'avait pas de remords et se sentait justifiée.
F*ck this sh*t.
J'ai vu aussi le film The Lobster sur Prime video. Bizarre, bizarre, ce concept. Genre, l'Etat paye des millions d'euros pour financer des hôtels de réinsertion sociale (à coup de propagande) pour forcer des célibataires à se remettre en couple ? Ok... et puis le groupe de résistance était encore pire, c'est dommage qu'il n'y ait aucun échappatoire dans ce film... t'es misérable dans les 2 sens, aucune place à la liberté. La métaphore avec les diktats de la société, je vois. Par contre, je n'aime pas les fins de film floues... argh, on nous laisse imaginer la fin et je n'aime pas ça, monsieur le réalisateur terminez votre film et assumez bref, quelle que soit l'kissue c'est dramatique. Et l'histoire de la compatibilité à l'hôtel, c'est du grand n'importe quoi, mais bon peut-être que c'est une satire des sites de rencontres.
Ajouté 6 heures 49 minutes 17 secondes après :
*sexagénaire
Que dire, bah chelou, oui. La même musique dramatique (notes de piano en tonalité mineure... me demandez pas quelle note, j'ai toujours été nulle en solfège) qui marque certaines scènes comme si elle signalait un nouveau chapitre ou la fin d'un chapitre... ou peut-être comme au théâtre genre acte I, acte II, etc. Sans cette musique, le film perdrait un peu son côté dramatique, car la majorité des scènes sont très ordinaires.
Comme d'hab, difficile de m'identifier à des comportements ou rites de passage... genre fumer un joint c'est "censé" être la base, hein, le truc à faire quand on est ado... euh OK lol Ou peut-être que c'est juste un moyen pour interpeler les spectateurs sur son adolescence gâchée, écourtée. Et puis la justification du sexe juste pour du sexe : "C'est ce que les adultes font." Euhh, cheating is not a mature thing to do, ma'am, ça n'a rien à voir avec le fait d'être adulte. Et lier la connexion émotionnelle avec le sexe n'a rien à voir avec le fait d'avoir une mentalité enfantine ou naïve. Bref. Le message est passé, on veut nous montrer que le pauvre gars de 36 ans a raté sa jeunesse et supporte une femme à présent soixantenaire, dépendante amoureuse, angoissée et immature, un peu dans le contrôle.
La dernière scène avec le serpent était creepy... le réalisateur est en train de nous dire que c'est elle le serpent ? Qu'elle a reproduit l'inceste qu'elle avait subi ? En tous cas, à un moment je l'ai insultée (dans ma tête) en anglais, cette dame (le film était en VOST), c'est un gros délire cette histoire, bien perverse, elle n'avait pas de remords et se sentait justifiée.
F*ck this sh*t.
J'ai vu aussi le film The Lobster sur Prime video. Bizarre, bizarre, ce concept. Genre, l'Etat paye des millions d'euros pour financer des hôtels de réinsertion sociale (à coup de propagande) pour forcer des célibataires à se remettre en couple ? Ok... et puis le groupe de résistance était encore pire, c'est dommage qu'il n'y ait aucun échappatoire dans ce film... t'es misérable dans les 2 sens, aucune place à la liberté. La métaphore avec les diktats de la société, je vois. Par contre, je n'aime pas les fins de film floues... argh, on nous laisse imaginer la fin et je n'aime pas ça, monsieur le réalisateur terminez votre film et assumez bref, quelle que soit l'kissue c'est dramatique. Et l'histoire de la compatibilité à l'hôtel, c'est du grand n'importe quoi, mais bon peut-être que c'est une satire des sites de rencontres.
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*sexagénaire
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