- 30 mars 2014, 03:04
#107401
Bonsoir à tous
Merci pour vos nouveaux messages de bienvenue, d'encouragement et ainsi qu'aux nouvelles personnes qui ont accepté de me répondre!
Tatiana, je comprends parfaitement ta question ! D’ailleurs je m’attendais à ce que quelqu’un me la pose plus tôt. Pour te répondre, je ne travaille pas sur la « virginité tardive » à proprement parler mais plutôt sur le sentiment d’être « tardif ». Moi aussi je ne trouve pas qu’on soit vraiment « tardif » quand on a un peu plus de 20 ans mais je pense que certaines personnes de ces âges là se vivent comme tardif.
Effectivement une moyenne n’est qu’une moyenne et ne devrait pas avoir beaucoup d’importance. Seulement d’après ce que j’ai pu apprendre lors de mes lectures sociologiques ou même en en discutant autour de moi, c’est que la plupart des gens connaissent à peu près l’âge moyen (ou plutôt médian) auquel les français vivent leur premier rapport sexuel. Beaucoup de personne se servent de cette moyenne pour se « repérer » (savoir s’ils sont plus précoces ou plus tardifs que les « autres »). Du coup cette moyenne prend une importance qu’elle ne devrait sans doute pas avoir.
J’ai fixé une tranche d’âge parce que je n’aurais pas le temps pour mon mémoire de réaliser beaucoup d’entretiens. Or pour que mon travail soit vraiment représentatif, il faudrait que j’interroge autant de personnes de la même classe d’âge : une quinzaine de personnes entre 20 et 30 ans, une quinzaine entre 30 et 40 ans,… afin de vraiment saisir comment la virginité est vécue à chaque âge de la vie. Cela me demanderait un temps dont je ne dispose pas pour l’instant.
Pourquoi le choix des 20 à 30 ans en priorité ? Parce que justement cela m’intriguait que l’on puisse se considérer comme « tardif » à 22 ans mais aussi pour des raisons pratiques : ils sont plus nombreux que les vierges des tranches d’âges plus âgées donc plus facile à rencontrer et de plus ayant moins de 30 ans mon réseau de connaissances, par lequel je recrute une partie de mes enquêtés, a aussi majoritairement moins de 30 ans.
En effet je suppose qu’à 35 ans passé la manière dont on vit sa virginité est extrêmement différente qu’à 25 ans. J’aimerais d’ailleurs beaucoup interroger des personnes de plus de 30 ans même si je ne pourrais pas très facilement les inclure dans mon mémoire. C’est pour cela que j’avais indiqué dans ma présentation « des personnes de 20 à 30 ans prioritairement ». Je voulais souligner le fait que les personnes de plus de 30 ans m’intéressent aussi. J’espère lors d’un travail plus important comme une thèse, si je parviens à en faire une, pouvoir travailler sur d’autres tranches d’âges que celle des 20-30 ans.
J’espère t’avoir répondu de manière suffisamment claire.
Merci pour vos nouveaux messages de bienvenue, d'encouragement et ainsi qu'aux nouvelles personnes qui ont accepté de me répondre!
Tatiana, je comprends parfaitement ta question ! D’ailleurs je m’attendais à ce que quelqu’un me la pose plus tôt. Pour te répondre, je ne travaille pas sur la « virginité tardive » à proprement parler mais plutôt sur le sentiment d’être « tardif ». Moi aussi je ne trouve pas qu’on soit vraiment « tardif » quand on a un peu plus de 20 ans mais je pense que certaines personnes de ces âges là se vivent comme tardif.
Effectivement une moyenne n’est qu’une moyenne et ne devrait pas avoir beaucoup d’importance. Seulement d’après ce que j’ai pu apprendre lors de mes lectures sociologiques ou même en en discutant autour de moi, c’est que la plupart des gens connaissent à peu près l’âge moyen (ou plutôt médian) auquel les français vivent leur premier rapport sexuel. Beaucoup de personne se servent de cette moyenne pour se « repérer » (savoir s’ils sont plus précoces ou plus tardifs que les « autres »). Du coup cette moyenne prend une importance qu’elle ne devrait sans doute pas avoir.
J’ai fixé une tranche d’âge parce que je n’aurais pas le temps pour mon mémoire de réaliser beaucoup d’entretiens. Or pour que mon travail soit vraiment représentatif, il faudrait que j’interroge autant de personnes de la même classe d’âge : une quinzaine de personnes entre 20 et 30 ans, une quinzaine entre 30 et 40 ans,… afin de vraiment saisir comment la virginité est vécue à chaque âge de la vie. Cela me demanderait un temps dont je ne dispose pas pour l’instant.
Pourquoi le choix des 20 à 30 ans en priorité ? Parce que justement cela m’intriguait que l’on puisse se considérer comme « tardif » à 22 ans mais aussi pour des raisons pratiques : ils sont plus nombreux que les vierges des tranches d’âges plus âgées donc plus facile à rencontrer et de plus ayant moins de 30 ans mon réseau de connaissances, par lequel je recrute une partie de mes enquêtés, a aussi majoritairement moins de 30 ans.
En effet je suppose qu’à 35 ans passé la manière dont on vit sa virginité est extrêmement différente qu’à 25 ans. J’aimerais d’ailleurs beaucoup interroger des personnes de plus de 30 ans même si je ne pourrais pas très facilement les inclure dans mon mémoire. C’est pour cela que j’avais indiqué dans ma présentation « des personnes de 20 à 30 ans prioritairement ». Je voulais souligner le fait que les personnes de plus de 30 ans m’intéressent aussi. J’espère lors d’un travail plus important comme une thèse, si je parviens à en faire une, pouvoir travailler sur d’autres tranches d’âges que celle des 20-30 ans.
J’espère t’avoir répondu de manière suffisamment claire.