- 25 août 2015, 21:35
#154271
J'ai un peu expérimenté le cannabis, la marijuana et le sheet il y a quelques années.
C'était toujours en groupe, et je n'en étais pas dépendant (il m'est jamais arrivé d'en acheter par moi-même ni d'en ressentir un manque), mais quand on m'en proposait, je ne disais pas non.
Etant d'un naturel extrêmement timide (timidité maladive, comme diraient quelques uns de mes psys), ça m'a permis de mieux m'affirmer.
A l'époque, je bossais dans un bar rock, et on accueillait pas mal de groupes qui y venaient faire des concerts.
Et avec une fille qui travaillait avec moi, on fumait en cachette avant le travail.
Et les clients ont souvent vu des scènes un peu space (mais rigolotes), du genre des batailles de tampons encreurs entre la fille et moi, des fous rires prolongés et des trucs un peu port'nawak. Ca mettait de l'ambiance, et de la bonne humeur et c'était vraiment bon enfant. Je me souviens, un soir on accueillait un groupe glam au boulot (du genre Mötley Crüe), et tout en tenant un Velleda rose, je leur ai dit un truc du genre "Vous voulez du maquillage ?!"). Mais là, j'en fumais en étant dans une période très optimiste.
Mais une fois, toujours dans le même bar, un mec m'avait proposé de la "pure" qu'il faisait pousser lui-même. Le mec étant un habitué du bar, je lui ai fait confiance vu que c'était un type très gentil (quoique très perché) et que c'était le meilleur ami d'un gars qui travaillait avec moi.
J'ai attendu de finir le boulot pour m'en fumer, et là j'ai eu des hallucinations assez zarbies. Sur le trajet, je me prenais pour Tarzan et je naviguais de liane en liane. J'habitais vite fait dans un appartement-relais à cette époque, et là je ne sais pas pourquoi (peut-être pour me changer les idées vu que j'étais conscient d'avoir des hallus) je mets la télé que l'assistante sociale avait installé. Je crois d'ailleurs que c'est la seule fois où j'ai allumé la télé durant mon séjour dans cet appartement-relais. Et je tombe sur une rediffusion des Filles d'à Côté (la série AB de l'époque Dorothée). Et là, je vois Gérard sortir de ma télé et me dire "Alors, Florent, on baise ?!" :D
Bref, les hallus étaient plus rigolotes que dangereuses, mais ouais ça m'a passé le goût d'en fumer. J'en ai plus retouché depuis.
C'était toujours en groupe, et je n'en étais pas dépendant (il m'est jamais arrivé d'en acheter par moi-même ni d'en ressentir un manque), mais quand on m'en proposait, je ne disais pas non.
Etant d'un naturel extrêmement timide (timidité maladive, comme diraient quelques uns de mes psys), ça m'a permis de mieux m'affirmer.
A l'époque, je bossais dans un bar rock, et on accueillait pas mal de groupes qui y venaient faire des concerts.
Et avec une fille qui travaillait avec moi, on fumait en cachette avant le travail.
Et les clients ont souvent vu des scènes un peu space (mais rigolotes), du genre des batailles de tampons encreurs entre la fille et moi, des fous rires prolongés et des trucs un peu port'nawak. Ca mettait de l'ambiance, et de la bonne humeur et c'était vraiment bon enfant. Je me souviens, un soir on accueillait un groupe glam au boulot (du genre Mötley Crüe), et tout en tenant un Velleda rose, je leur ai dit un truc du genre "Vous voulez du maquillage ?!"). Mais là, j'en fumais en étant dans une période très optimiste.
Mais une fois, toujours dans le même bar, un mec m'avait proposé de la "pure" qu'il faisait pousser lui-même. Le mec étant un habitué du bar, je lui ai fait confiance vu que c'était un type très gentil (quoique très perché) et que c'était le meilleur ami d'un gars qui travaillait avec moi.
J'ai attendu de finir le boulot pour m'en fumer, et là j'ai eu des hallucinations assez zarbies. Sur le trajet, je me prenais pour Tarzan et je naviguais de liane en liane. J'habitais vite fait dans un appartement-relais à cette époque, et là je ne sais pas pourquoi (peut-être pour me changer les idées vu que j'étais conscient d'avoir des hallus) je mets la télé que l'assistante sociale avait installé. Je crois d'ailleurs que c'est la seule fois où j'ai allumé la télé durant mon séjour dans cet appartement-relais. Et je tombe sur une rediffusion des Filles d'à Côté (la série AB de l'époque Dorothée). Et là, je vois Gérard sortir de ma télé et me dire "Alors, Florent, on baise ?!" :D
Bref, les hallus étaient plus rigolotes que dangereuses, mais ouais ça m'a passé le goût d'en fumer. J'en ai plus retouché depuis.
Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.