- 15 avr. 2015, 11:06
#141341
Bonjour à tous,
J'ai rencontré G. sur Adopteunmec.com. Nous avons échangé des mails et discuté sur FB et au téléphone pendant deux mois. Nous nous sommes écrit près de 300 mails, et nous nous sommes beaucoup confié l'un à l'autre. Je lui ai dit que j'étais vierge et il a accueilli ma confidence avec beaucoup de bienveillance. Très vite, je lui ai transmis un lien vers la vidéo de mon intervention lors d'une journée d'études que j'ai organisée. Il m'a trouvée "magnifique" et "désirable" - au point de douter de ma virginité... Il m'a flattée , troublée ; c'était la première fois qu'un homme me trouvait, explicitement, désirable. Moi aussi, je l'ai désiré. Désiré à cause de sa gentillesse, de la liberté de parole qu'il m'offrait, de l'écoute qu'il m'accordait. Je lui ai dit. Il m'a demandé que nous nous tenions à une relation platonique - parce qu'il n'est pas capable, encore sous le choc d'une rupture amoureuse, de s'engager dans une vie de couple et d'être fidèle à une femme. J'ai accepté. Puis j'ai exprimé mon désir de laisser les choses venir en expliquant que je pouvais vivre une aventure sans être en souffrance. Mes arguments l'ont convaincu. Nous avons donc placé notre relation sous le signe de tous les possibles.
Nous nous sommes rencontrés le mercredi 1er avril, lors de mon dernier séjour à Paris. G. habite dans la capitale, je vis à Bordeaux. Nous avons passé la journée ensemble, visité l'exposition Klimt à la Pinacothèque, déjeuné, nous nous sommes promenés dans la ville et avons débuté la soirée chez lui en compagnie de son colocataire autour d'une bonne bouteille de vin. Fatiguée, saoule, j'ai demandé qu'il m'héberge pour la nuit - chose dont il avait exprimé plus tôt le désir - et, avant que nous partagions le lit, il m'a fait une longue déclaration : il voulait "me faire l'amour et des bisous depuis 19 heures" et m'a priée de lui dire quel rôle je voulais qu'il tienne. Gênée, j'ai répondu : le rôle d'un ami - j'ai demandé une relation platonique. Il a accepté, déçu.
Au petit matin, il m'a demandé s'il pouvait me prendre dans ses bras, j'ai dit : oui, bien sûr. Il m'a serré très fort et soumise à ses caresses, nombreuses, délicieuses. J'ai savouré et je me suis retournée vers lui et je l'ai embrassé et j'ai répondu à mon désir et à son désir. Mais mon corps était encore en résistance. La pénétration a été impossible, trop douloureuse. Il a été compréhensif - désolé même de m'avoir fait mal - et proposé que l'on continue notre câlin. Il a duré longtemps, notre câlin : près de quatre heures et je n'ai pas vu le temps passer.
Il m'a fait des compliments, dit que j'étais sensuelle, que mon désir était beau. Malgré tout, j'ai eu honte. Toute la journée qui a suivi, je me suis répété que le sexe, ce n'était pas pour moi, que j'étais une partenaire médiocre. Mais nous nous sommes revus et j'ai passé à nouveau la nuit dans son lit et il m'a désirée encore et moi aussi. J'ai perdu ma virginité à la quatrième tentative. J'ai eu mal et toutes les fois suivantes également, tout en éprouvant beaucoup de plaisir et tout en adorant - vraiment, en adorant - sentit le corps de G. contre le mien.
Samedi, je pars à Paris. G. m'offre l'hospitalité. Je reste huit jours. J'ai hâte d'être dans ses bras, malgré le trac, malgré la peur d'avoir mal. Hâte qu'il soit en moi. Il a la peau douce. Il est tendre. Après l'amour, il ne cabotine plus, il s'abandonne à l'autre, encore, en toute sincérité, en toute simplicité, c'est terriblement agréable.
Hio
J'ai rencontré G. sur Adopteunmec.com. Nous avons échangé des mails et discuté sur FB et au téléphone pendant deux mois. Nous nous sommes écrit près de 300 mails, et nous nous sommes beaucoup confié l'un à l'autre. Je lui ai dit que j'étais vierge et il a accueilli ma confidence avec beaucoup de bienveillance. Très vite, je lui ai transmis un lien vers la vidéo de mon intervention lors d'une journée d'études que j'ai organisée. Il m'a trouvée "magnifique" et "désirable" - au point de douter de ma virginité... Il m'a flattée , troublée ; c'était la première fois qu'un homme me trouvait, explicitement, désirable. Moi aussi, je l'ai désiré. Désiré à cause de sa gentillesse, de la liberté de parole qu'il m'offrait, de l'écoute qu'il m'accordait. Je lui ai dit. Il m'a demandé que nous nous tenions à une relation platonique - parce qu'il n'est pas capable, encore sous le choc d'une rupture amoureuse, de s'engager dans une vie de couple et d'être fidèle à une femme. J'ai accepté. Puis j'ai exprimé mon désir de laisser les choses venir en expliquant que je pouvais vivre une aventure sans être en souffrance. Mes arguments l'ont convaincu. Nous avons donc placé notre relation sous le signe de tous les possibles.
Nous nous sommes rencontrés le mercredi 1er avril, lors de mon dernier séjour à Paris. G. habite dans la capitale, je vis à Bordeaux. Nous avons passé la journée ensemble, visité l'exposition Klimt à la Pinacothèque, déjeuné, nous nous sommes promenés dans la ville et avons débuté la soirée chez lui en compagnie de son colocataire autour d'une bonne bouteille de vin. Fatiguée, saoule, j'ai demandé qu'il m'héberge pour la nuit - chose dont il avait exprimé plus tôt le désir - et, avant que nous partagions le lit, il m'a fait une longue déclaration : il voulait "me faire l'amour et des bisous depuis 19 heures" et m'a priée de lui dire quel rôle je voulais qu'il tienne. Gênée, j'ai répondu : le rôle d'un ami - j'ai demandé une relation platonique. Il a accepté, déçu.
Au petit matin, il m'a demandé s'il pouvait me prendre dans ses bras, j'ai dit : oui, bien sûr. Il m'a serré très fort et soumise à ses caresses, nombreuses, délicieuses. J'ai savouré et je me suis retournée vers lui et je l'ai embrassé et j'ai répondu à mon désir et à son désir. Mais mon corps était encore en résistance. La pénétration a été impossible, trop douloureuse. Il a été compréhensif - désolé même de m'avoir fait mal - et proposé que l'on continue notre câlin. Il a duré longtemps, notre câlin : près de quatre heures et je n'ai pas vu le temps passer.
Il m'a fait des compliments, dit que j'étais sensuelle, que mon désir était beau. Malgré tout, j'ai eu honte. Toute la journée qui a suivi, je me suis répété que le sexe, ce n'était pas pour moi, que j'étais une partenaire médiocre. Mais nous nous sommes revus et j'ai passé à nouveau la nuit dans son lit et il m'a désirée encore et moi aussi. J'ai perdu ma virginité à la quatrième tentative. J'ai eu mal et toutes les fois suivantes également, tout en éprouvant beaucoup de plaisir et tout en adorant - vraiment, en adorant - sentit le corps de G. contre le mien.
Samedi, je pars à Paris. G. m'offre l'hospitalité. Je reste huit jours. J'ai hâte d'être dans ses bras, malgré le trac, malgré la peur d'avoir mal. Hâte qu'il soit en moi. Il a la peau douce. Il est tendre. Après l'amour, il ne cabotine plus, il s'abandonne à l'autre, encore, en toute sincérité, en toute simplicité, c'est terriblement agréable.
Hio