Comment nous avez-vous connu ? Recherche, bouche à oreille...
Avatar de l’utilisateur
par Fye
Homme de 37 ans vierge
#157613
J'ai un collègue de boulot qui m'a dit qu'il y a genre 5 ans il était super timide, puis un jour il a décidé de changer.
Il s'est fait de nouveaux amis, a commencé à sortir avec eux, puis peu à peu il est devenu quelqu'un de très sociable.

Je pense que la timidité est un réel blocage, mais qu'avec de la vraie motivation c'est possible de la surpasser, il faut "juste" vraiment le vouloir et mettre les efforts qu'il faut pour y arriver.
Tu peux également surpasser ta timidité si tu es au pied du mur. (dans le l'exemple du boulot, je pense que ce que tu dis illustre bien celà)
Avatar de l’utilisateur
par Apatch
Femme de 42 ans non vierge
#157700
Je me demande si la timidité n'est pas un symptôme du manque de confiance en soi, qui peut donc aussi s'exprimer d'une autre manière. Que la timidité induit un manque de confiance en soi mais pas le contraire.
Avatar de l’utilisateur
par Nick
Homme de 43 ans vierge
#157721
Effectivement dans certaines situations, avec l'habitude et le temps, le manque de confiance en soi peut s'atténuer et on est plus à l'aise ... mais dans d'autres cas, elle reste toujours encombrante, contre productive, et d'autant plus lorsque l'on accumule les échecs, déceptions ou erreurs ...
Avatar de l’utilisateur
par Ichor
Homme de 59 ans vierge
#157730
mais dans d'autres cas, elle reste toujours encombrante, contre productive, et d'autant plus lorsque l'on accumule les échecs, déceptions ou erreurs ...
Et lorsque cela touche l'intime.
Se sentir rejeter quand on essuie un refus de la part d'une femme est plus douloureux (voir très) pour certains hommes semble-t-il. Quand tu es atteint de cette sensibilité trop poussée, tu n'as pas envie de multiplier les refus tellement cela fait mal (c'est idiot, mais tu peux prendre ça pour un signe que tu ne vaux rien du tout) voire tu ne vas rien demander parce que tu as trop peur d'avoir mal.
par Hyperion
ans
#157887
Le refus fait mal, encore plus quand la fille ou le gars dit: ce n'est pas toi/Ca n'a rien avoir avec toi! D

"Ce n'est pas toi/Ca n'a rien avoir avec toi" je l'ai lu sur des forums ou des sites qui explique la réelle raison du refus. Et d'après les explications, en effet, le non n'est pas envers la personne elle-même, mais envers autre chose (contexte, situation, sentiment, autre...). Sauf que c'est bien beau, mais... La personne va ressentir le non. Ce non va la toucher en profondeur, même si ce n'est pas envers-elle même qu'il s'adresse, n'empêche que la personne est la cible "principale subjectivement parlant".

La phrase qu'on dit tous: si ce n'est pas moi/rien avoir avec moi, alors pourquoi tu dis non? Si ce n'est pas envers ma propre personne, c'est envers qui ou quoi?
Avatar de l’utilisateur
par Ichor
Homme de 59 ans vierge
#157891
n'empêche que la personne est la cible "principale subjectivement parlant".
En effet, comment ne pas le prendre en plein coeur.
le non n'est pas envers la personne elle-même, mais envers autre chose (contexte, situation, sentiment, autre...)
Comble de la cruauté, elle ne te voit même pas. Ta demande ne peut même pas être prise au sérieux.
Toujours cette impression d'être invisible.
Avatar de l’utilisateur
par impala
Femme de 40 ans non vierge
#157914
Je ne suis pas sûre de bien saisir ce que vous voulez dire. Si la personne ne se sent pas prête à se lancer dans une relation, elle a le droit de l'exprimer (et c'est quand même mieux, plutôt que de se forcer). Et quant à l'autre personne, celle qui a fait la demande, elle a ainsi provoqué une réponse ; elle ne peut pas exiger que cette réponse, qu'elle a sollicitée, soit positive. Au contraire, je conseillerais de se préparer à un refus (comme on dit : "préparer le pire, espérer le meilleur"), pour éviter de trop souffrir s'il se produit, comme vous semblez le faire ; et d'accepter le fait que l'autre a toute liberté d'accepter ou de refuser. C'est à chacun de travailler sur lui (c'est-à-dire prendre du recul, se mettre à la place des autres de manière empathique, etc.) pour prendre les choses moins personnellement, accepter qu'on n'a pas le contrôle sur tout et diminuer sa propre souffrance.

Ichor, je ne vois pas où tu vois le "comble de la cruauté". J'ai l'impression que tu fais de ton cas personnel une généralité (et encore, la cruauté c'est ce que tu as ressenti, mais rien ne dit que c'était une intention de la personne avec laquelle tu as interagi).

édition : j'avais utilisé l'anglicisme "i.e." (une habitude qui me vient de mes prises de notes au lycée), donc je l'ai remplacé :-).
Dernière modification par impala le 24 sept. 2015, 21:32, modifié 1 fois.
Avatar de l’utilisateur
par Ichor
Homme de 59 ans vierge
#157916
Au contraire, je conseillerais de se préparer à un refus (comme on dit : "préparer le pire, espérer le meilleur"), pour éviter de trop souffrir s'il se produit
C'est ce que j'ai toujours fait et donc je ne faisais rien.
En réalité, je ne faisais pas rien, je devançais le refus craint et je sabotais tout (souvent sans m'en rendre compte immédiatement, juste une émotion (à quoi bon? Cela va rater) irrépressible qui pousse à tout saboter)
De toutes façons, cela fait longtemps que je n'ai pas rejoué ce scénario. Manque d'opportunités.

mais rien ne dit que c'était une intention de la personne avec laquelle tu as interagi
On peut être cruel sans avoir aucune intention de l'être, je n'ai jamais pensé qu'il y avait une volonté de l'être.
C'est une activité où tu peux faire beaucoup de mal sans même t'en rendre compte. C'est chacun pour soi et relève toi si tu peux.
  • 1
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • 13