- 26 nov. 2015, 15:52
#161767
Un autre extrait:
J'imagine que lorsque tu es délirant, tu es le dernier à le savoir.
Ça t'aide de penser ça ?Je suis curieux de nature. J'essaie de comprendre ce qui m'arrive.
Un autre extrait:
La personnalité sensitivequi se poursuit:
C'est un type de personnalité paranoïaque marqué par un sens élevé des valeurs morales :
l'orgueil (une haute estime de soi-même, qui conduit à se considérer comme jamais suffisamment reconnu à sa juste valeur) ;
une hyperesthésie relationnelle entraînant une grande vulnérabilité dans les contacts sociaux ;
une tendance à l'autocritique, à intérioriser douloureusement les échecs et une susceptibilité.
On ne retrouve pas l'hypertrophie du moi ni la quérulence présentes chez les autres personnalités paranoïaques même si, en réalité, la haute estime de soi-même y participe.
Le délire de relation des sensitifs est un délire chronique non dissociatif, c'est-à-dire qu'il n'appartient pas au groupe des schizophrénies. Il s'installe chez l'adulte (généralement après 35 ans), chez des sujets qui présentaient antérieurement une personnalité marquée par la sensitivité. Un état délirant apparaît progressivement, généralement à la suite d'échecs ou de déceptions : le sujet commence à interpréter de manière délirante le monde qui l'entoure. On considère qu'il perçoit correctement la réalité, mais qu'il lui attribue un sens erroné, c'est-à-dire qu'on attribue un mécanisme interprétatif déficient à ces personnes.Quand tu lis cette littérature , c'est comme lire un horoscope, tu as tout le temps l'impression qu'on parle de toi.
J'imagine que lorsque tu es délirant, tu es le dernier à le savoir.
Tout ce que tu feras sera dérisoire, mais il est essentiel que tu le fasses.
Il n'y a que trois choses que l'on puisse faire avec une femme [...]. On peut l'aimer, souffrir pour elle ou en faire de la littérature.
Il n'y a que trois choses que l'on puisse faire avec une femme [...]. On peut l'aimer, souffrir pour elle ou en faire de la littérature.