- 06 sept. 2016, 00:35
#176661
Encore une fois vous prenez comme justification un mode de pensée loin d'être inéluctable, si on est prêt à se mettre avec quelqu'un qui ne nous plaît pas en se figurant que c'est genre une des dernières personnes célibataires sur la Terre, c'est sans doute qu'on a un autre problème.
VACN a écrit :Admettons qu'elle existe indépendamment de notre perception, comment la contourner ? A moins d'altérer les champs de probabilité comme la Scarlet Witch, on n'a aucun moyen d'influencer le nombre de partenaires potentiel(le)s "disponibles" à tout moment. Même en allant dans des endroits où on a plus de chances de rencontrer des personnes susceptibles de nous plaire, on n'augmente pas leur nombre, uniquement la fréquence à laquelle on en rencontre.Je parlais de difficulté de manière générale, et "contourner" n'est peut-être pas le mot idéal, mais je ne suis pas d'accord ; rencontrer plus de gens, comme tu dis, privilégier les endroits pour célibataires, s'aviser plus rapidement du statut des gens quand nécessaire, sont des moyens de faire remonter une probabilité (de rencontrer des célibataires) qui finit par rendre les choses compliquées. Je ne dis pas que ça change l'Univers, mais pour ma part je n'aurais pas idée de m'y prendre invariablement, ad vitam aeternam de la même façon que quand j'avais 17 ans.
Partant de là, puisqu'on ne peut pas changer le problème de population, y penser ne peut rien apporter de bon. Ça risque même de conduire à une mentalité contre-productive, à cause de laquelle on s'accroche trop longtemps à des personnes pas faites pour nous, parce qu'on est convaincu qu'elles sont parmi les dernières partenaires potentielles qu'on pourra rencontrer dans notre vie.
Encore une fois vous prenez comme justification un mode de pensée loin d'être inéluctable, si on est prêt à se mettre avec quelqu'un qui ne nous plaît pas en se figurant que c'est genre une des dernières personnes célibataires sur la Terre, c'est sans doute qu'on a un autre problème.
VACN a écrit :Franchement, qu'il y ait deux mille personnes qui me correspondent ou deux-cent mille, je m'en moque un peu. A ce stade, il y a une telle abondance que le nombre ne compte plus vraiment, vous comprenez ?S'il n'y a que deux mille personnes qui te correspondent sur même la seule population de Paris, tu n'es sûrement pas prêt de rencontrer une de ces personnes (tout du moins, plus loin que le "bonjour salut"), il faut encore que cela soit réciproque et qu'une histoire démarre, donc je ne vois pas de quelle abondance tu parles.