- 14 juin 2016, 13:14
#171551
Bonjour,
Je suis venue par ici dans l'idée de demander des avis ou des témoignages de femmes qui, comme moi, ont passé la trentaine et sont vierges tardives, par choix ou pas.
Depuis quelques années j'ai remarqué que mes hormones semblaient décidées à prendre une revanche sur l'inactivité que je leur fais subir. J'entends par là que je n'ai vraiment aucune activité sexuelle, même solitaire. J'en ai eu une adolescente puis jeune adulte mais j'ai tout arrêté il y a trois ou quatre ans de ça parce qu'au fond je n'y voyais aucun intérêt et que ça ne m'apportait rien.
Je ne prends pas la pilule, je ne l'ai jamais prise, je ne la prendrai jamais...
J'ai toujours eu des hormones assez réactives, je pense que je suis un peu déréglée sur ce plan la, mais je pensais que ça se calmerait avec les années et l'inactivité sexuelle. Or ce n'est pas le cas. J'ai un syndrome prémenstruel très important qui dure facilement deux semaines par mois. Au départ c'était des migraines et des maux de ventre (classique !) mais maintenant c'est aussi de la mastose, des vertiges, de la fatigue, des nausées, des maux de dos, de la nervosité voire des crises d'angoisse totalement inexpliquées, etc. je sens la mauvaise période arriver une bonne dizaine de jours avant qu'elle ne se déclenche pour de bon...
J'ai vraiment l'impression que mon corps cherche à me rappeler que nous, les femmes, nous sommes censées porter la vie (moi je ne veux pas d'enfants, pas plus que je ne veux de quelqu'un dans ma vie...)... Niveau mastose, j'ai l'impression d'être une vache qu'on aurait oublié de traire, c'est super agréable... :( C'est devenu encore plus évident et prononcé depuis que j'ai perdu une vingtaine de kilos. Peut-être que la perte de poids a réveillé les hormones, je ne sais pas...
La seule réponse médicale à ces dérèglements est...la pilule, dont je ne veux pas. Un médecin m'a dit clairement qu'il ne connaissait aucun cas identique au mien et qu'il ne pouvait pas répondre à mes interrogations sur la raison de cet affolement hormonal.
Je sais que le risque de cancer du sein est plus développé chez les nullipares ou les femmes qui n'ont pas de relations sexuelles (les religieuses sont paraît-il très touchées par ce fléau)... De là à penser que mon abstinence totale et volontaire puisse provoquer ces dérèglements...
J'aimerais donc avoir des avis ou des témoignages de femmes ayant un profil un peu semblable au mien. Merci.
Je suis venue par ici dans l'idée de demander des avis ou des témoignages de femmes qui, comme moi, ont passé la trentaine et sont vierges tardives, par choix ou pas.
Depuis quelques années j'ai remarqué que mes hormones semblaient décidées à prendre une revanche sur l'inactivité que je leur fais subir. J'entends par là que je n'ai vraiment aucune activité sexuelle, même solitaire. J'en ai eu une adolescente puis jeune adulte mais j'ai tout arrêté il y a trois ou quatre ans de ça parce qu'au fond je n'y voyais aucun intérêt et que ça ne m'apportait rien.
Je ne prends pas la pilule, je ne l'ai jamais prise, je ne la prendrai jamais...
J'ai toujours eu des hormones assez réactives, je pense que je suis un peu déréglée sur ce plan la, mais je pensais que ça se calmerait avec les années et l'inactivité sexuelle. Or ce n'est pas le cas. J'ai un syndrome prémenstruel très important qui dure facilement deux semaines par mois. Au départ c'était des migraines et des maux de ventre (classique !) mais maintenant c'est aussi de la mastose, des vertiges, de la fatigue, des nausées, des maux de dos, de la nervosité voire des crises d'angoisse totalement inexpliquées, etc. je sens la mauvaise période arriver une bonne dizaine de jours avant qu'elle ne se déclenche pour de bon...
J'ai vraiment l'impression que mon corps cherche à me rappeler que nous, les femmes, nous sommes censées porter la vie (moi je ne veux pas d'enfants, pas plus que je ne veux de quelqu'un dans ma vie...)... Niveau mastose, j'ai l'impression d'être une vache qu'on aurait oublié de traire, c'est super agréable... :( C'est devenu encore plus évident et prononcé depuis que j'ai perdu une vingtaine de kilos. Peut-être que la perte de poids a réveillé les hormones, je ne sais pas...
La seule réponse médicale à ces dérèglements est...la pilule, dont je ne veux pas. Un médecin m'a dit clairement qu'il ne connaissait aucun cas identique au mien et qu'il ne pouvait pas répondre à mes interrogations sur la raison de cet affolement hormonal.
Je sais que le risque de cancer du sein est plus développé chez les nullipares ou les femmes qui n'ont pas de relations sexuelles (les religieuses sont paraît-il très touchées par ce fléau)... De là à penser que mon abstinence totale et volontaire puisse provoquer ces dérèglements...
J'aimerais donc avoir des avis ou des témoignages de femmes ayant un profil un peu semblable au mien. Merci.