Chihiro a écrit :
Est-ce qu'on peut raisonnablement penser qu'un président de sport universitaire veuille se mêler d'histoires entre élève et prof ?
Ce que je questionne ici c’est la perception qu’on peut se faire d’une situation.
Parfois, on peut développer certaines croyances par rapport à des situations et elles s’avèrent fausses après discussions et éclaircissements. C’est tout.
PS: en plus le fait de s'expliquer sur des situations difficiles, c'est un peu une compétence qu'on doit tous développer en tant qu'adulte non?
Moi, je pense qu'un président de sport universitaire doit veiller au bon déroulement des cours de sport et donc que oui si il y a un conflit qui ne se règle pas il doit intervenir.
Peut être que les gestes de PS ne sont pas malveillants mais le mal est la quand même.
Sur le long terme, une personne sensée s'en rend compte.
Après, peut être qu'il faudra s'expliquer un jour.
Pasta a écrit :
La réponse de l’assistante est clairement trop violente, et c’est certainement en réponse à la violence perçue du message de Ludoch.
Je ne trouve pas le message particulièrement violent, je ne fais aucune attaques personnelles, je lui reproche juste son comportement vis à vis de moi. Je ne l'agresse pas, je me défends. Je ne l'interdit pas de s'expliquer. Contrairement, à l'assistante où c'est une agression verbale.
Même si j'ai supposé son comportement malveillant, il aurait pu me répondre en disant que ce n'était pas malveillant.
En tout cas, moi, à sa place c'est ce que j'aurais fait.
Après, concernant le message que j'ai envoyé, il avait pour but qu'il me laisse tranquille.
Pasta a écrit :
La réponse du prof de salsa est totalement appropriée : on lui a demandé d’arrêter, il arrête.
Disons que ces dernières semaines, il continue plus discrètement. Parfois, j'ai l'impression qu'il se retient. Il fait des choses plus en douceur mais supportables.
Bref, moi, ce que je retiens de cette situation, c'est que : il y a quelques années si j'aurais vécu une situation pareille j'aurais fuit. Je n'aurais rien dit et j'aurais pris la fuite.
Mais, dans cette situation, même si j'ai peut être manqué de tacte, j'ai su dire les choses. Je pense que c'est le plus important à retenir.
J'évolue dans le bon sens, je verrais par la suite si on s'explique ou pas.
Après, que les intentions soient malveillantes ou pas, il me laisse tranquille, c'est tout ce qui compte pour moi.
Ajouté 2 heures 15 minutes 28 secondes après :
En tout cas, merci à tous pour vos commentaires. Cela m'aide beaucoup.
J'ai envie de parler d'autres choses, plus positives.
Maintenant, je vais vous parler de mes rencontres que j'ai faites en ce début d'année universitaire.
Dans ma promo, il y a deux nouvelles filles : une déjà en couple et une autre qui me plaît bien. J'ai tenté des choses avec elle. J'ai chercher à manger au restaurant universitaire (RU) avec elle, je lui ai fait des compliments sur elle, mais ça n'a pas marché. Je n'ai jamais réussi a manger avec elle et je me suis rendu compte qu'elle se moquait de moi par rapport à la façon dont je la regardais.
J'ai préféré laisser tombé avec cette fille qui ne me plaît plus.
Malgré tout cela, il n'y a pas que du négatif dans mes rencontres.
Un jour, j'avais demandé à la fille qui me plaisait dans la classe si l'on pouvait manger ensemble.
Sa réponse fut : "Je mange dans une heure, j'attends mes amis".
Finalement, je n'ai pas attendu, et je ne le regrette pas.
Au RU j'ai vu deux filles que je connaissais mais aussi une brune toute seule. Je suis allé vers la brune. Appelons la Flora. Je lui demanda : "Bonjour. Est-ce que je peux manger avec toi ?"
Sa réponse fut "Oui".
On a bien parlé et elle a même attendue que je finisse de manger avant de partir.
D'habitude la plupart des filles n'attendent pas. J'ai senti un feeling entre nous.
J'en ai profité pour lui demander son numéro de portable pour pouvoir manger ensemble une autre
fois. "Oui, si tu veux" fut sa réponse.
J'ai donc attendu environ une ou deux semaines avant de lui envoyer un message.
Sa réponse pour manger ensemble fut une nouvelle fois positive.
Et le lendemain, pour la première fois depuis que je suis à la fac, j'attendais quelqu'un pour
aller manger. C'était super sympa. Elle a même été étonnée que je ne lui envoie pas de messages plus tôt.
Après, on a continué à manger ensemble d'autres midis.
Durant certains repas, j'ai vu qu'elle avait un sacré caractère : elle critiquait ceux qui payaient en liquide. Elle n'a même pas eu assez d'argent pour payer son repas, il lui manquait 1 euro cinquante, je lui ai donc payé son repas. Flora était énervée que d'autres de la table boivent l'eau de la carafe qu'elle a remplie.
A un repas, je lui ai demandé ce qu'elle faisait le lendemain soir. Elle m'a dit qu'elle allait à la nuit du fitness avec ses copines. Je lui ai dit que justement moi aussi y allais pour faire de la danse.
Je lui ai proposé que l'on danse ensemble. Elle m'a dit qu'elle venait juste pour voir
et pour faire plaisir à ses copines.
Et, à un moment donné on a parlé de mains.
Flora était dimanche bénévole pour s’occuper du marathon, et elle a pris froid.
Elle avait froid aux pieds et aux mains. Alors, je lui ai dit que mes mains deviennent rouge quand
j'ai froid, et qu'elles sèchent. C'est alors qu'elle m'a montré ses mains, et j'ai commencé à lui toucher ses mains, puis à lui caresser ses mains.
Je ne sais pas ce qui m'a pris, je l'ai fait instinctivement sans réfléchir, j'en avais envie.
C'était très agréable, et elle avait l'air d'apprécier aussi.
Elle m'a même dit : "là aussi c'est sec" pour que je caresse une autre partie de sa main.
Je lui ai alors dit : "elles sont belles tes mains".
-"Non, elles ne sont pas belles, j'ai des ampoules, des cloques avec l'aviron."
En tout cas, moi, elles me plaisaient ses mains.
Après, le repas, on s'est parlé, elle a dit que demain elle viendrait vers 21h. Et, elle m'a dit : "à demain".
Le lendemain, à la nuit du fitness, on s'est croisé, elle m'a ramené chez moi en voiture,
mais on n'a pas dansé ensemble. Elle m'a dit qu'elle n'aimait pas.
En tout cas, Flora me plaît beaucoup et j'espère que on a une belle histoire devant nous.