Venez ici pour partager vos joies et vos peines du moment.
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par Tanky
Femme de 27 ans vierge
#246676
eigucimo a écrit : 18 oct. 2022, 14:52
oh je crois que je suis une cause perdue
Tu n'es pas une cause perdue, tu as juste besoin de retrouver la confiance en toi.

Pour la voiture, je suis désolé, mais le code a été inventé pour éviter les accidents, pas pour faire du tuning ^^' Mais il faut conduire, avoir plusieurs kilomètres au compteur, pour apprendre à magner la voiture et savoir rouler plus loin (apprendre à ne pas grogner sur les gens quand on est sur la route est tout un art XD)

Ta haine des couples en vacances est pareil à nos frustrations de ne pas trouver notre moitié, c'est normal. Je te dirais que tu es un peu comme beaucoup d'entre nous, tu dois apprendre à sortir seul et à t'affirmer. Ta timidité et ton caractère introverti (aggraver par le harcèlement, je devine) doit être surmonté. Il faut affronter les autres, quand on a subi du harcèlement, s'affirmer est un long chemin mais pas impossible, il faut apprendre à se reconnecter avec l'autre, savoir simplement parler de tout et de rien, puis ne plus avoir cette honte d'être seul dans un endroit ou dans une activité ou autre.

Pour la psy, je peux comprendre. Lors de ma rechute brutale en dépression en novembre 2021, je refusais de prendre des anti-dépresseurs et je suis heureuse d'avoir pu surmonter ça. Comme je dis, je trouve parfois hypocrite de dire aux gens d'aller voir un psy alors que j'ai toujours refusé d'y aller mais des gens du forum m'ont dit que c'était parfois question de trouver le bon. Sinon, il est possible avec tous les forums et les réseaux sociaux, de trouver des groupes ou communautés afin de s'y confier et de lâcher son sac. Pour moi, ce n'est pas si illogique que de sentir mieux à se confier sur internet, malgré les dangers, parce qu'on rencontre des gens dans la même situation que nous et qu'ils ne cherchent pas à nous diagnostiquer. Il faut trouver toutefois des alternatives pour surmonter les déprimes passagères, comme des activités, des sorties, du sport... afin d'évacuer le stress, la pression, la frustration, etc.

Pour le travail, si tu as une voiture, il faut chercher hors de chez toi et voir des métiers qui sont ce domaine qui te plait ou entamer des formations, tu as déjà une piste, un métier qui rend service aux gens (et il y en a beaucoup) et je pense que ce monde a besoin de personnes comme toi qui veulent prendre plaisir à faire leur travaille et ont une véritable volonté d'aider. Il faut juste que tu précises cette recherche, que tu essayes de voir ce que tu peux essayer sans être obligée de formation, les formations que tu voudrais vraiment faire, les métiers qui t'intéressent suivant les secteurs (social, aide à la personne, etc.)

Tu n'es pas une cause perdu, mais je vais te dire un truc un peu osé parce que j'ai vécu et vu mille fois cette situation : On peut avoir de parler et de lâcher son sac, mais si on vient vers les autres pour chercher une solution aux problèmes et que tu y vois une impossibilité à chaque fois, sache que les conseilles des autres ne sont que des pistes et qu'il n'y aura que par toi-même que tu pourrais améliorer ta vie.

Reprendre sa vie en main c'est un processus long et difficile mais pas impossible, faut juste trouver le bon emplacement, les bons matériaux et la motivation pour construire sa route.
Roulian aime ça
par FakeChad
Homme de 56 ans non vierge
#246682
Pour le restau: c'est pas un problème de manger seul, personne te juge, j'ai souvent été en province pour mon travail et je mangeais seul et personne n'y faisais attention
Le restau c'est pour se socialiser: il faut juste trouver un endroit où il y a des femmes comme clientes ou serveuses et y prendre tes habitudes: si elles ont l'habitude de t'y voir tous les samedis alors elles te parlent
De toute façon j'ai un dicton "si tu fais rien, rien n'arriveras" c'est à dire c'est pas en restant sur ton lit que tu rencontreras une femme ou même un ami
Quand j'avais 32 ans, j'étais seul et je me forçais à aller en boite chaque semaine parfois même deux fois par semaine et j'avais fini par rencontrer une jeune femme (vierge d'ailleurs) et je suis resté deux ans et demi avec
par eigucimo
Homme de 38 ans vierge
#246851
@Tanky, "et la motivation pour construire sa route." justement, j'en manque, je n'ai pas de 'moteur', d'envie, de projet, de motivation, pas de feuille de route ; c'est ce qui me manque le plus. j'envie les jeunes qui savent dès 15-18 ans ce qu'ils veulent faire de leur vie. moi 37 ans, je suppose que je ne saurai jamais, et ça parait déjà trop tard. c'est terminé avant d'avoir commencé. si j'étais une équipe de foot, je serai dernièr au classement avec 0 victoire 3 matchs nuls et 15 défaites. dur de croire au maintien.... et en + je perds mes 'passions' ou intérêts, au point de me demander : mais pourquoi j'ai pu m'intéresser à ça , ça sert à rien, poubelle.
par eigucimo
Homme de 38 ans vierge
#247222
@Amaz

je reprends ce qu'on a dit sur le fil 'état d'esprit', pour ne pas gêner le post
car ce fil "news" est + adapté

Amaz a écrit :
Je crois qu'il y a 2-3 secondes inconscientes où on évalue si oui ou non la personne inspire confiance, est un danger, ou bien si elle est amicale et sympa
la première impression.
Je me dis que ça soit des reliquats de notre instant de survie.
guichetiere poste, caissière, supermarché, boulangère : tout ce petit monde a hâte de se débarrasser de moi, je le ressens comme ça
Pour le coup, je pense que c'est de la surinterprétation, dû à ta méfiance envers les gens, et ça peut se comprendre vu ce que tu relates en filigrane de ton enfance et adolescence,

Je pense que les commerçants sont neutres, on est juste un client parmi les autres. De toute façon, ce n'est pas dans ces moments-là que tu vas te créer un cercle social.
sinon je suis trop sur la défensive, inhibition, retenue, ça se voit que ça va pas quoi. là y'a rien à en tirer
Exact, je pense que les gens le remarquent lorsqu'une personne est sur la défensive. Comme on le dit, le regard est le miroir de l'âme, il ne trompe pas et via l'expression du regard (l'expression du visage), je pense que des choses qui peuvent se remarquer, le fait d'être méfiant, etc.
j'aborde pas les gens avec la sensation que ça va bien se passer surtout que les faits divers donnent raison de + en+souvent , désormais.
C'est intéressant, car je note dans ce passage que tu sembles déjà avoir analysé ton propre comportement, que tu as fait une introspection, tu notes ici une chose intéressante, tu abordes de-facto les échanges humains comme étant dès le départ négatif. Mais je pense que ce n'est pas une fatalité, on peut apprendre à changer ce type de penser et de schémas automatique. C'est un travail de longue halène, mais je ne pense pas que ça soit une fatalité.

Je ne pense pas que les gens soient mal intentionnés, je pense qu'à causse de notre passif, nous interprétons les intentions des gens comme étant de-facto négative, mais la plupart des gens n'ont pas de raison de s'en prendre à nous. C'est le cerveau qui nous jouent des tours.

Dis-moi n'as-tu jamais songé à suivre une thérapie ? j'en suis une depuis un an et ça m'a aidé à y voir plus clair, ça pourrait peut-être te faire du bien d'échanger avec une personne de confiance et de délester de ton passé douloureux ?

Ça m'a aussi aidé dans les relations sociales, ça m'a aidé justement à être moins sur la défensive et notamment envers les hommes.
on me foutait des grosses baffes à la maison jusqu'à mes 18 ans, et encore une fois pour la route à 21 ans
Je compatis, j'ai également eu une enfance pas très drôle, mais dieu merci, on ne me frappait pas !, c'était en l'occurrence dans mon cas de la maltraitance psychologique sous forme de blâmes, de critiques ou de chantage affectif, ainsi que les tentatives pour induire la culpabilité. Mon père était très bon à ce jeu + il souffrait d'alcoolisme.

J'imagine que c'était l'un de tes parents qui fut maltraitant envers toi ?

Et justement, comment veut tu avoir confiance en les autres alors que tu ne pouvais pas avoir confiance en ton propre parent. Ce sont des situations qui laissent sans nul doute des séquelles plus ou moins importante selon les gens.
là où mon caractère devait se développer s'épnouir, tout a pourri
Bah voilà, tu l'écris toi-même, tu en as conscience, comme le disait très précisément Deadwood, un enfant ayant grandi dans un foyer sain à plus de chance de devenir un adulte n'ayant pas de carence, un enfant ayant eu une enfance douloureuse à plus de chance de finir avec des séquelles. C'est quelque part logique.
je crois que je suis cyclothymique, assez marqué
Évitons-les auto-diagnostique, c'est toujours un peu casse-gueule les auto-diagnostique, mais néanmoins (pour l'exemple) j'étais tombé sur un PDF qui expliquait les conséquences de l'alcoolisme d'un parent sur l'enfant et aussi sur le futur adulte qu'il allait devenir et l'une des conclusions à ça, c'était qu'il y avait plus de probabilité de souffrir de trouble anxieux et/ou dépressif.

PS : je précise que ce n'est pas péjoratif quand j'indique le terme ''surinterprétation'', etc. Et qui plus est, ça se fait je pense malgré soi ce type de comportement.
Amaz a écrit :
Je crois qu'il y a 2-3 secondes inconscientes où on évalue si oui ou non la personne inspire confiance, est un danger, ou bien si elle est amicale et sympa
la première impression.
Je me dis que ça soit des reliquats de notre instant de survie.
guichetiere poste, caissière, supermarché, boulangère : tout ce petit monde a hâte de se débarrasser de moi, je le ressens comme ça
Pour le coup, je pense que c'est de la surinterprétation, dû à ta méfiance envers les gens, et ça peut se comprendre vu ce que tu relates en filigrane de ton enfance et adolescence,

Je pense que les commerçants sont neutres, on est juste un client parmi les autres. De toute façon, ce n'est pas dans ces moments-là que tu vas te créer un cercle social.
sinon je suis trop sur la défensive, inhibition, retenue, ça se voit que ça va pas quoi. là y'a rien à en tirer
Exact, je pense que les gens le remarquent lorsqu'une personne est sur la défensive. Comme on le dit, le regard est le miroir de l'âme, il ne trompe pas et via l'expression du regard (l'expression du visage), je pense que des choses qui peuvent se remarquer, le fait d'être méfiant, etc.
j'aborde pas les gens avec la sensation que ça va bien se passer surtout que les faits divers donnent raison de + en+souvent , désormais.
C'est intéressant, car je note dans ce passage que tu sembles déjà avoir analysé ton propre comportement, que tu as fait une introspection, tu notes ici une chose intéressante, tu abordes de-facto les échanges humains comme étant dès le départ négatif. Mais je pense que ce n'est pas une fatalité, on peut apprendre à changer ce type de penser et de schémas automatique. C'est un travail de longue halène, mais je ne pense pas que ça soit une fatalité.

Je ne pense pas que les gens soient mal intentionnés, je pense qu'à causse de notre passif, nous interprétons les intentions des gens comme étant de-facto négative, mais la plupart des gens n'ont pas de raison de s'en prendre à nous. C'est le cerveau qui nous jouent des tours.

Dis-moi n'as-tu jamais songé à suivre une thérapie ? j'en suis une depuis un an et ça m'a aidé à y voir plus clair, ça pourrait peut-être te faire du bien d'échanger avec une personne de confiance et de délester de ton passé douloureux ?

Ça m'a aussi aidé dans les relations sociales, ça m'a aidé justement à être moins sur la défensive et notamment envers les hommes.
on me foutait des grosses baffes à la maison jusqu'à mes 18 ans, et encore une fois pour la route à 21 ans
Je compatis, j'ai également eu une enfance pas très drôle, mais dieu merci, on ne me frappait pas !, c'était en l'occurrence dans mon cas de la maltraitance psychologique sous forme de blâmes, de critiques ou de chantage affectif, ainsi que les tentatives pour induire la culpabilité. Mon père était très bon à ce jeu + il souffrait d'alcoolisme.

J'imagine que c'était l'un de tes parents qui fut maltraitant envers toi ?

Et justement, comment veut tu avoir confiance en les autres alors que tu ne pouvais pas avoir confiance en ton propre parent. Ce sont des situations qui laissent sans nul doute des séquelles plus ou moins importante selon les gens.
là où mon caractère devait se développer s'épnouir, tout a pourri
Bah voilà, tu l'écris toi-même, tu en as conscience, comme le disait très précisément Deadwood, un enfant ayant grandi dans un foyer sain à plus de chance de devenir un adulte n'ayant pas de carence, un enfant ayant eu une enfance douloureuse à plus de chance de finir avec des séquelles. C'est quelque part logique.
je crois que je suis cyclothymique, assez marqué
Évitons-les auto-diagnostique, c'est toujours un peu casse-gueule les auto-diagnostique, mais néanmoins (pour l'exemple) j'étais tombé sur un PDF qui expliquait les conséquences de l'alcoolisme d'un parent sur l'enfant et aussi sur le futur adulte qu'il allait devenir et l'une des conclusions à ça, c'était qu'il y avait plus de probabilité de souffrir de trouble anxieux et/ou dépressif.

PS : je précise que ce n'est pas péjoratif quand j'indique le terme ''surinterprétation'', etc. Et qui plus est, ça se fait je pense malgré soi ce type de comportement.
Amaz a écrit :
Je crois qu'il y a 2-3 secondes inconscientes où on évalue si oui ou non la personne inspire confiance, est un danger, ou bien si elle est amicale et sympa
la première impression.
Je me dis que ça soit des reliquats de notre instant de survie.
guichetiere poste, caissière, supermarché, boulangère : tout ce petit monde a hâte de se débarrasser de moi, je le ressens comme ça
Pour le coup, je pense que c'est de la surinterprétation, dû à ta méfiance envers les gens, et ça peut se comprendre vu ce que tu relates en filigrane de ton enfance et adolescence,

Je pense que les commerçants sont neutres, on est juste un client parmi les autres. De toute façon, ce n'est pas dans ces moments-là que tu vas te créer un cercle social.
sinon je suis trop sur la défensive, inhibition, retenue, ça se voit que ça va pas quoi. là y'a rien à en tirer
Exact, je pense que les gens le remarquent lorsqu'une personne est sur la défensive. Comme on le dit, le regard est le miroir de l'âme, il ne trompe pas et via l'expression du regard (l'expression du visage), je pense que des choses qui peuvent se remarquer, le fait d'être méfiant, etc.
j'aborde pas les gens avec la sensation que ça va bien se passer surtout que les faits divers donnent raison de + en+souvent , désormais.
C'est intéressant, car je note dans ce passage que tu sembles déjà avoir analysé ton propre comportement, que tu as fait une introspection, tu notes ici une chose intéressante, tu abordes de-facto les échanges humains comme étant dès le départ négatif. Mais je pense que ce n'est pas une fatalité, on peut apprendre à changer ce type de penser et de schémas automatique. C'est un travail de longue halène, mais je ne pense pas que ça soit une fatalité.

Je ne pense pas que les gens soient mal intentionnés, je pense qu'à causse de notre passif, nous interprétons les intentions des gens comme étant de-facto négative, mais la plupart des gens n'ont pas de raison de s'en prendre à nous. C'est le cerveau qui nous jouent des tours.

Dis-moi n'as-tu jamais songé à suivre une thérapie ? j'en suis une depuis un an et ça m'a aidé à y voir plus clair, ça pourrait peut-être te faire du bien d'échanger avec une personne de confiance et de délester de ton passé douloureux ?

Ça m'a aussi aidé dans les relations sociales, ça m'a aidé justement à être moins sur la défensive et notamment envers les hommes.
on me foutait des grosses baffes à la maison jusqu'à mes 18 ans, et encore une fois pour la route à 21 ans
Je compatis, j'ai également eu une enfance pas très drôle, mais dieu merci, on ne me frappait pas !, c'était en l'occurrence dans mon cas de la maltraitance psychologique sous forme de blâmes, de critiques ou de chantage affectif, ainsi que les tentatives pour induire la culpabilité. Mon père était très bon à ce jeu + il souffrait d'alcoolisme.

J'imagine que c'était l'un de tes parents qui fut maltraitant envers toi ?

Et justement, comment veut tu avoir confiance en les autres alors que tu ne pouvais pas avoir confiance en ton propre parent. Ce sont des situations qui laissent sans nul doute des séquelles plus ou moins importante selon les gens.
là où mon caractère devait se développer s'épnouir, tout a pourri
Bah voilà, tu l'écris toi-même, tu en as conscience, comme le disait très précisément Deadwood, un enfant ayant grandi dans un foyer sain à plus de chance de devenir un adulte n'ayant pas de carence, un enfant ayant eu une enfance douloureuse à plus de chance de finir avec des séquelles. C'est quelque part logique.
je crois que je suis cyclothymique, assez marqué
Évitons-les auto-diagnostique, c'est toujours un peu casse-gueule les auto-diagnostique, mais néanmoins (pour l'exemple) j'étais tombé sur un PDF qui expliquait les conséquences de l'alcoolisme d'un parent sur l'enfant et aussi sur le futur adulte qu'il allait devenir et l'une des conclusions à ça, c'était qu'il y avait plus de probabilité de souffrir de trouble anxieux et/ou dépressif.

PS : je précise que ce n'est pas péjoratif quand j'indique le terme ''surinterprétation'', etc. Et qui plus est, ça se fait je pense malgré soi ce type de comportement.
Amaz a écrit :
Je crois qu'il y a 2-3 secondes inconscientes où on évalue si oui ou non la personne inspire confiance, est un danger, ou bien si elle est amicale et sympa
la première impression.
Je me dis que ça soit des reliquats de notre instant de survie.
guichetiere poste, caissière, supermarché, boulangère : tout ce petit monde a hâte de se débarrasser de moi, je le ressens comme ça
Pour le coup, je pense que c'est de la surinterprétation, dû à ta méfiance envers les gens, et ça peut se comprendre vu ce que tu relates en filigrane de ton enfance et adolescence,

Je pense que les commerçants sont neutres, on est juste un client parmi les autres. De toute façon, ce n'est pas dans ces moments-là que tu vas te créer un cercle social.
sinon je suis trop sur la défensive, inhibition, retenue, ça se voit que ça va pas quoi. là y'a rien à en tirer
Exact, je pense que les gens le remarquent lorsqu'une personne est sur la défensive. Comme on le dit, le regard est le miroir de l'âme, il ne trompe pas et via l'expression du regard (l'expression du visage), je pense que des choses qui peuvent se remarquer, le fait d'être méfiant, etc.
j'aborde pas les gens avec la sensation que ça va bien se passer surtout que les faits divers donnent raison de + en+souvent , désormais.
C'est intéressant, car je note dans ce passage que tu sembles déjà avoir analysé ton propre comportement, que tu as fait une introspection, tu notes ici une chose intéressante, tu abordes de-facto les échanges humains comme étant dès le départ négatif. Mais je pense que ce n'est pas une fatalité, on peut apprendre à changer ce type de penser et de schémas automatique. C'est un travail de longue halène, mais je ne pense pas que ça soit une fatalité.

Je ne pense pas que les gens soient mal intentionnés, je pense qu'à causse de notre passif, nous interprétons les intentions des gens comme étant de-facto négative, mais la plupart des gens n'ont pas de raison de s'en prendre à nous. C'est le cerveau qui nous jouent des tours.

Dis-moi n'as-tu jamais songé à suivre une thérapie ? j'en suis une depuis un an et ça m'a aidé à y voir plus clair, ça pourrait peut-être te faire du bien d'échanger avec une personne de confiance et de délester de ton passé douloureux ?

Ça m'a aussi aidé dans les relations sociales, ça m'a aidé justement à être moins sur la défensive et notamment envers les hommes.
on me foutait des grosses baffes à la maison jusqu'à mes 18 ans, et encore une fois pour la route à 21 ans
Je compatis, j'ai également eu une enfance pas très drôle, mais dieu merci, on ne me frappait pas !, c'était en l'occurrence dans mon cas de la maltraitance psychologique sous forme de blâmes, de critiques ou de chantage affectif, ainsi que les tentatives pour induire la culpabilité. Mon père était très bon à ce jeu + il souffrait d'alcoolisme.

J'imagine que c'était l'un de tes parents qui fut maltraitant envers toi ?

Et justement, comment veut tu avoir confiance en les autres alors que tu ne pouvais pas avoir confiance en ton propre parent. Ce sont des situations qui laissent sans nul doute des séquelles plus ou moins importante selon les gens.
là où mon caractère devait se développer s'épnouir, tout a pourri
Bah voilà, tu l'écris toi-même, tu en as conscience, comme le disait très précisément Deadwood, un enfant ayant grandi dans un foyer sain à plus de chance de devenir un adulte n'ayant pas de carence, un enfant ayant eu une enfance douloureuse à plus de chance de finir avec des séquelles. C'est quelque part logique.
je crois que je suis cyclothymique, assez marqué
Évitons-les auto-diagnostique, c'est toujours un peu casse-gueule les auto-diagnostique, mais néanmoins (pour l'exemple) j'étais tombé sur un PDF qui expliquait les conséquences de l'alcoolisme d'un parent sur l'enfant et aussi sur le futur adulte qu'il allait devenir et l'une des conclusions à ça, c'était qu'il y avait plus de probabilité de souffrir de trouble anxieux et/ou dépressif.

PS : je précise que ce n'est pas péjoratif quand j'indique le terme ''surinterprétation'', etc. Et qui plus est, ça se fait je pense malgré soi ce type de comportement.
Amaz a écrit : amicale et sympa
la première impression.

Je me dis que ça soit des reliquats de notre instant de survie.

guichetiere poste, caissière, supermarché, boulangère : tout ce petit monde a hâte de se débarrasser de moi, je le ressens comme ça

Pour le coup, je pense que c'est de la surinterprétation, dû à ta méfiance envers les gens, et ça peut se comprendre vu ce que tu relates en filigrane de ton enfance et adolescence,
Amaz a écrit : Je crois qu'il y a 2-3 secondes inconscientes où on évalue si oui ou non la personne inspire confiance, est un danger, ou bien si elle est amicale et sympa
la première impression.

Je me dis que ça soit des reliquats de notre instant de survie.

guichetiere poste, caissière, supermarché, boulangère : tout ce petit monde a hâte de se débarrasser de moi, je le ressens comme ça

Pour le coup, je pense que c'est de la surinterprétation, dû à ta méfiance envers les gens, et ça peut se comprendre vu ce que tu relates en filigrane de ton enfance et adolescence,

Je pense que les commerçants sont neutres, on est juste un client parmi les autres. De toute façon, ce n'est pas dans ces moments-là que tu vas te créer un cercle social.

sinon je suis trop sur la défensive, inhibition, retenue, ça se voit que ça va pas quoi. là y'a rien à en tirer

Exact, je pense que les gens le remarquent lorsqu'une personne est sur la défensive. Comme on le dit, le regard est le miroir de l'âme, il ne trompe pas et via l'expression du regard (l'expression du visage), je pense que des choses qui peuvent se remarquer, le fait d'être méfiant, etc.

j'aborde pas les gens avec la sensation que ça va bien se passer surtout que les faits divers donnent raison de + en+souvent , désormais.

C'est intéressant, car je note dans ce passage que tu sembles déjà avoir analysé ton propre comportement, que tu as fait une introspection, tu notes ici une chose intéressante, tu abordes de-facto les échanges humains comme étant dès le départ négatif. Mais je pense que ce n'est pas une fatalité, on peut apprendre à changer ce type de penser et de schémas automatique. C'est un travail de longue halène, mais je ne pense pas que ça soit une fatalité.

Je ne pense pas que les gens soient mal intentionnés, je pense qu'à causse de notre passif, nous interprétons les intentions des gens comme étant de-facto négative, mais la plupart des gens n'ont pas de raison de s'en prendre à nous. C'est le cerveau qui nous jouent des tours.

Dis-moi n'as-tu jamais songé à suivre une thérapie ? j'en suis une depuis un an et ça m'a aidé à y voir plus clair, ça pourrait peut-être te faire du bien d'échanger avec une personne de confiance et de délester de ton passé douloureux ?

Ça m'a aussi aidé dans les relations sociales, ça m'a aidé justement à être moins sur la défensive et notamment envers les hommes.

on me foutait des grosses baffes à la maison jusqu'à mes 18 ans, et encore une fois pour la route à 21 ans

Je compatis, j'ai également eu une enfance pas très drôle, mais dieu merci, on ne me frappait pas !, c'était en l'occurrence dans mon cas de la maltraitance psychologique sous forme de blâmes, de critiques ou de chantage affectif, ainsi que les tentatives pour induire la culpabilité. Mon père était très bon à ce jeu + il souffrait d'alcoolisme.

J'imagine que c'était l'un de tes parents qui fut maltraitant envers toi ?

Et justement, comment veut tu avoir confiance en les autres alors que tu ne pouvais pas avoir confiance en ton propre parent. Ce sont des situations qui laissent sans nul doute des séquelles plus ou moins importante selon les gens.

là où mon caractère devait se développer s'épnouir, tout a pourri

Bah voilà, tu l'écris toi-même, tu en as conscience, comme le disait très précisément Deadwood, un enfant ayant grandi dans un foyer sain à plus de chance de devenir un adulte n'ayant pas de carence, un enfant ayant eu une enfance douloureuse à plus de chance de finir avec des séquelles. C'est quelque part logique.

je crois que je suis cyclothymique, assez marqué

Évitons-les auto-diagnostique, c'est toujours un peu casse-gueule les auto-diagnostique, mais néanmoins (pour l'exemple) j'étais tombé sur un PDF qui expliquait les conséquences de l'alcoolisme d'un parent sur l'enfant et aussi sur le futur adulte qu'il allait devenir et l'une des conclusions à ça, c'était qu'il y avait plus de probabilité de souffrir de trouble anxieux et/ou dépressif.

PS : je précise que ce n'est pas péjoratif quand j'indique le terme ''surinterprétation'', etc. Et qui plus est, ça se fait je pense malgré soi ce type de comportement.




Bonjour,
moi aussi j'ai eu les violences psycho et verbales (en + des physiques)
encore jusque très tard. Comme j'ai pas confiance en moi il suffit d'un rien, un mot pour que tout flanche, même si depuis quelque temps, je fais le systeme "plume de canard" : ça veut dire que ça glisse et que ça ne m'atteint pas et également que je traduis immédiatement cela par ressentir de la pitié pour le type qui les prononce : (je ne cotoie personne d'autre que ma famille, donc quand je dis "type" bin ça veut dire qu'il n'y a pas de liens très forts)

les violences verbales : père et freres, on s'est jamais entraidé entre nous, tjrs esprit de compétition (notes à l'école) et élevés les uns contre les autres.


or, j'habite tjrs chez mes parents à 37 ans. relations de dépendance toxique chacun s'en accomode. je n'ai pas eu les "armes" pour prendre mon envol, j'aurai été un oiseau je me serai écrasé au sol.

j'ai encore retrouvé le fouet avec lequel l'autre nous frappait. tiroir cuisine.

oui on aborde pas la vie avec la confiance normale de qqun de normal. ma mère était 90% du temps au travail. (quand gt enfant), elle savait, vu les cris, mais ne venait pas, par peur de s'opposer à l'autre. pour moi elle est complice. qd je veux lui en parler elle s'enerve botte en touche, on n'a jamais pu aborder ce sujet sereinement ou alors elle fait de l'echolalie, ça mène à rien. je ne suis pas le seul dans ma famille à être vt. on est : 3 sur 4 . c'est colossal.

maintenant je me dis qu'il me reste 20 ou 30 ans à vivre donc ce sera pas si long


enfin voilà ça explique mon manque de confiance et d'estime de moi
j'ai arreêté de penser à tout ça quand je travaillais beaucoup
là g pu de travail ça remonte à la surface (surtout quand on tombe sur le fouet) oui, ça fait s.m. faut être taré pour faire ça à ses propres enfants.


j'aimerai trouver un travail, ma voie pro, m'épanouir dedans, arrêter de penser à ça. peut être que je serai différent, mais rencontrer femme avoir des enfants, je me doute bien qu'il faut pas trop y compter.
mon rêve depuis que j'ai 9 ans est de couper les ponts avec ma famille ne plus jamais avoir à les revoir.
et je me dis que si je rencontrais une femme elle me demande des trucs sur ma famille , je serai mal à l'aise, elle croirait que j'ai des trucs à cacher, et si elle savait, elle aurait pitié de moi. ce serait pu comme avant. pareil, pour la présenter, impossible


psy : pas envie ni de prendre des médocs, ni d'aller en hp, ni de payer 60 euros (mm remboursé), pour qu'on m'écoute.

je fais sport pour penser à autre chose
pdt des années : jeux vidéos, jeux d'argent, alcool, mauvais frequentations, tout ça : fini, il faut de la force pour se sortir de ces pièges. et surtout solitude. il y aavit aussi, addiction au porno. ça c'est une horreur que je supprime de ma vie. quel piège.

oui bcp d'introspection, de résilience, mais à quoi bon, je fais rien de ma vie pour autant.
j'aurai aimé avoir de l'utilité, mais je suis mal à l'aise avec les gens, mais je veux faire un truc, je veux pas crever sans avoir essayé.


pas du tout forcé de répondre, je sais très bien que c'est pénible à lire et qu'on a pas tjrs envie de répondre, je le comprends très bien, sincèrement.
merci de m'avoir lu
par Roulian
Homme de 46 ans non vierge
#247223
eigucimo, je comprends que tu passes par une phase difficile et que c'est dur de remonter la pente. Je ne sais pas si ce que je vais t'écrire te permettra d'aller mieux, mais je vais essayer.

Tout d'abord, tu mentionnes un certain nombre de "pièges" que tu as réussi à identifier et sur lesquels tu travailles. Ne sois pas trop dur avec toi-même si jamais tu n'arrives pas à être aussi "parfait" que tu le souhaiterais, et sois fier de ce que tu as déjà accompli !

Tu as un parcours de vie endommagé, et (malheureusement) tu es loin d'être le seul dans ce cas. Je ne sais pas de quoi le futur est fait, que ce soit pour moi ou les autres, mais je me dis que c'est une grande loterie, et on ne sait jamais ce que la vie a prévu ensuite pour nous. Peut-être bien qu'un jour, ton chemin croisera celui d'une personne qui, comme toi, n'a pas connu les aspects les plus heureux de la vie. Une personne qui aura souffert dans son enfance, ou bien dans sa relation aux autres. Il existe bien trop de personnes malheureuses ou abîmées sur Terre pour que cela reste du domaine de l'improbable, et parfois, deux d'entre elles se croisent au bon moment de leur vie, et sans doute que tout n'est pas idéal, mais elles réussissent à se faire mutuellement du bien.

Bon courage à toi !
Amaz aime ça
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par Amaz
Homme de 33 ans vierge
#247224
j'habite tjrs chez mes parents à 37 ans. relations de dépendance toxique chacun s'en accomode. je n'ai pas eu les "armes" pour prendre mon envol
Je compatis, j'ai aussi vécu jusqu'à environ mes 30 ans dans la codépendance toxique ou chacun s'en accommode tant bien que mal. Mais dans mon relatif malheur, j'avais au moins la chance d'avoir un parent saint d'esprit et qui n'était pas cabossé par la vie.

Depuis chez mon propre logement et je ne te raconte pas à quel point ça fait du bien d'avoir son cocon à soi, rien qu'à soi.

Pourquoi n'envisagerais-tu pas par-exemple de faire une demande pour l'obtention d'un logement social ?, au vu de ta situation, je pense que tu pourrais t'en voir attribuait un, ça te permettrait de souffler un bon coup et d'avoir ton petit chez-toi ou vivre. Ça serait une première étape pour te libérer de l'emprise de tes parents, ça ne réglerait pas tout comme par magie, mais ça serait une étape parmi les autres pour aller de l'avant.

C'est triste de se dire que ta seule perspective de te libérer de ta situation, ça serait via le décès de tes parents.

Tu sembles réticent à obtenir de l'aide, mais ça pourrait éventuellement s'avérer utile, même indispensable, ça pourrait être l'étape d'après, en CMP par-exemple, ce n'est pas obligatoire de passer en libéral. Par contre, selon les régions, il faut s'armer de patience. Il y a beaucoup de demande et pas toujours suffisamment de personnel et d'ailleurs ça ne ferait pas de toi un fou ou quelqu'un qui serait d'office hospitalisé en HP. Mais ça permettrait par-exemple de s'assurer que tu ne traines pas par-exemple un stress post-traumatique. Je dis ça, car j'ai un ami qui se faisait battre enfant par son père et il s'est avéré qu'il avait un stress post traumatique majeur, il souffrait d'hypervigilance, de reviviscence traumatique, etc, c'était très handicapant dans son quotidien, mais il est à présent suivi dans une clinique spécialisé. C'est surtout pour ça que je t'ai insinué l'idée d'un suivi, afin de s'assurer que tu ne te traineras pas tout le long de ta vie un stress post traumatique ou autre cochonnerie du genre.

Évidemment, c'est toi qui vois, mais pour le moment ça ne semble pas être à l'ordre du jour et ça peut tout à fait se comprendre, en premier lieu si tu arrivais un jour ou l'autre, d'une façon ou d'une autre, par te libérer de l'emprise de tes parents, ça serait déjà une première étape charnière.
motivation pour construire sa route." justement, j'en manque, je n'ai pas de 'moteur', d'envie, de projet, de motivation, pas de feuille de route ; c'est ce qui me manque le plus
Tu écrivais ceci dans un message précédent et pour causse, ça me paraît délicat de se projeter dans le futur lorsqu'on est en plein codépendance toxique avec l'un où ses deux parents. D'où l'intérêt de ne pas rester coincé ad vitam aeternam
dans cette situation.

Sur ce, je ne vois pas rajouter de plus, courage à toi
Roulian aime ça
par eigucimo
Homme de 38 ans vierge
#247225
oh non, cette perspective de décès ne m'aiderait pas du tout, je ne pense pas que je pourrais me débrouiller tout seul : vu qu'ils font tout à ma place, je ne sais rien faire, même si je sais faire quelques plats.
mais réparer un truc electrique, recevoir un dépanneur, tout ça, je suis hors jeu, trop timide (et-ou sauvage)

logement social : pas pour moi les appart. ni les villes. ni les assistantes sociales non non non

ma perspective c'est de trouver ma voie pro, et d'avoir envie de me lever le matin pour faire un truc bien.

les trucds pourris de jeux video, d'argent, d'addictions pourries, je m'en suis sorti seul sans aide autre que auto discipline et refus d'être dépendant de qqch, parfois g mis l'ongtemps à m'en apercevoir. malgré tout ça, c'est comme c'est et pour le moment tant que je me suis pas prouvé ma valeur à la société je me sens incomplet. je sais que je peux faire des choses que peut feront. réussir à se sortir des jeux d'argent, c'est très compliqué. et de tout un tas d'autres pièges que je n'ai pas mentionné. j'ai une certaine confiance en moi parfois mais c'est lorsque je dois me confronter aux autres que ça ne marche pas. (g + d'intelligence intrapersonnelle que extra-personnelle) je suis + dans l'introversion et que l'extraversion. je me suis jamais confié à personne de vive voix.

maintenant, mes relations avec mes parents sont normalisées mm sil y a des rechutes parfois, mais ce n'est plus comme quand j'avais 15 ans. j'ai affronté le truc, j'en sais + sur eux que eux sur eux mêmes.

j'ai un proverbe que j'aime bien :

il va être mal dit mais bon

un glaçon à -40°C, même si on le réchauffe de 39°C, il est toujours à l'état de glaçon ; il ne sait pas encore qu'il lui suffit de 1 seul petit degré de + pour se transformer en eau. là je c pas pk, je me sens motivé
de toute façon se plaindre ou avoir envie ça sert à rien, si je veux changer un truc ça commence aujourd'hui là maintenant, par faire un truc
merci pourvos réponses !



euh nan, cmp : nan, j'ai déjà essayé, je crois que je me suis énervé contre la soi disant psy. lol en gros ça s'est mal passé on m'a dit de partir (pour info ct une conn.e et des vrais psy après m'ont largement donné raison, j'ai failli saisir l'ordre des medecins). c'était pour un truc spécifique

ah oui, hypervigilance je connais, production de cortisol en continu. mais mnt je fais méditation sport, et endroit calme. j'ai les oreilles et audition "niquées" par l'hyperacousie, je cumule en fait

probleme avec les psys : c'est que je sais où ils veulent en venir, ils m'ennuient, j'en fais ce que je veux au final
j'ai le malheur d'être "hpi" c'est assez spécifique dans mes relations avec autrui, je ne peux entrer en relation qu'avec un pourcentage infime de personnes, selon les données. même si je sais bien qu'on croirait pas, comme ça, de prime abord que je suis 'hpi' (évalué par équipe de neuropsy) nan, je cumule. mais ceci étant je crois qu'il y a bcp de monde comme ça, sur ce forum. des zèbres, tt le temps en décalage, et qui ne savent pas comment se connecter avec les gens, car il y a un trop grand décalage, cette impression de pas être normal.

je rajouter tsa pour moi au fait lol même si ça fait peu un peur et je le comprends
à la fin c'est marrant, je cumule plein de trucs on croirait un gag. mais c'est dur d'être à ma place.


merci pour tes réponses c'est très cool de ta part je me sens écouté ça fait du bien
Roulian aime ça