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par Lux
Femme de 37 ans non vierge
#42249
Merci Patou, je crois que tout est dit.
Glaraque, je ne suis pas professeur, je n'ai pas à tout t'expliquer. Je t'ai donné des pistes, tu n'as qu'à creuser par toi-même. Va lire ce qu'ont écrit les maîtres ès gender studies, ça t'aidera sûrement à sortir de tes idées préconçues.
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par Alone87
Homme de 37 ans non vierge
#42250
patou57 a écrit :celui de "sage-femme" (bien sûr, vous pouvez noter aisément que l'équivalent masculin de ce mot n'existe pas)
Si, c'est maïeuticien.
En toute rigueur on devrait aussi appeler les sages-femmes féminines les maïeuticiennes.
La discipline est la maïeutique.
par traviata
Femme de 62 ans non vierge
#42257
Ben sans vouloir être désagréable je dirais plutôt que c'est de l'obstétrique ..
sans vouloir passer pour une vilaine sexiste je dirais que je n'aurais pas adoré avoir une sage-femme homme ... non par doutes envers ses compétences, mais parce qu'il y a des moments où on aime bien être entre femmes, justement ...

Sinon, les choses changent ...
il y a plein de filles dans les lycées agricoles
80% des cavaliers sont des cavalières

mais ...

il n'y a pas si longtemps, quand je sévissais encore en maternelle, j'ai eu maille à partir avec un père qui voulait que j'interdise à son fils de jouer dans le "coin poupées". De peur qu'il ne soit pas assez viril. Si si si ... c'était pourtant dans les années 90 (1990, je précise :boulet: ) quand il était déjà de mise pour les papas de donner le biberon et de changer les couches ...
par Lilith
Femme de ans non vierge
#42267
Lux a écrit : Oui, et elles sont essentiellement d'ordre culturel, parce qu'il a toujours fallu répéter aux femmes qu'elles ne pouvaient pas faire les mêmes choses que les hommes.
Je te conseille de t'intéresser aux gender studies, Judith Butler en tête, qui ont agréablement détruit l'idéal masculin et l'idéal féminin que véhicule notre vieille société patriarcale et machiste.
Les femmes et les hommes sont égaux, mais ils ne sont pas pour autant identiques. Les différences culturelles existent, mais ce n'est en rien suffisant pour conclure qu'aucune autre divergence ne sépare les deux sexes. Et puis je me demande s'il est possible de parler de différences culturelles sans penser qu'il y ait eu un début (d'ordre biologique) qui puisse expliquer qu'une séparation aussi nette des rôles ait pu durer (et continue de durer) aussi longtemps à travers l'histoire.

Même si les femmes à la Judith Butler font un travail qui soit tout à fait respectable et même s'il y a bien souvent du vrai dans ce qu'elles racontent, la plupart d'entre elles semble avoir une dent contre les hommes, comme si leur travail était teinté de leur haine envers eux (mais je dis ça à titre personnel).
Lux a écrit :On n'a jamais réussi à prouver qu'un cerveau fonctionnait différemment selon le sexe de l'individu, donc hormis les hormones (qui sont contrôlées par la civilisation, dieu merci, sinon on se jetterait sur la première personne qui nous plaît dans la rue), il n'y a pas de différence entre les hommes et les femmes.
Plusieurs différences existent entre le fonctionnement des cerveaux des deux sexes. C'est un fait qu'on peut retrouver dans n'importe quel livre de sciences qui traite sur le sujet... Tout d'abord, l'hypothalamus, qui est une partie essentielle du cerveau, contrôle la sécrétion d'hormones sexuelles. Les fonctions cognitives diffèrent selon un certain degré entre les deux sexes. Par exemple, le lobe frontal des femmes a une activité plus importante, ce qui joue dans leur manière de percevoir les émotions. Je dis tout ça de mémoire, mais si on cherchait plus, on pourrait développer la liste pendant des heures...EDIT: Je ne pense pas que les hormones soient contrôlées par la civilisation, je dirais plutôt que ce sont plutôt nos comportements.
Dernière modification par Lilith le 14 juil. 2011, 22:15, modifié 1 fois.
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par glaraque
Homme de 35 ans non vierge
#42276
patou57 a écrit :c'est parce que dès leur plus jeune âge, on les incite à se comporter de manière plus contemplative, être plus en retrait, tandis qu'on incitera les petits garçons à jouer au foot, par exemple, afin que ceux-ci puissent se dépenser à loisir.

Inversement, un garçon qui choisira de s'orienter vers des études choises par une majorité féminine aura également du mal à se faire une place
au québec...(où le soccer/football n'est pas si populaire)

40% "du membership" de la fédération du soccer du québec. sont des femmes (elles sont 75 596)
la proportion des femmes augmentent et celles des hommes diminues
au niveau senior (plus haute catégorie amateur), les femmes laissent tomber beaucoup plus que les hommes

http://www.federation-soccer.qc.ca/Docs ... -22%29.pdf

donc je ne crois pas qu'on pousse plus les hommes dans le sport. lorsque les enfants sont jeunes, les parents les mettent dans beaucoup de truc sportif
au québec plus ont est jeune, plus il y a de fille qui jouent au hockey. avec l'âge ça diminue (se qui est faux pour le soccer/ou football. elle cesse seulement plus au niveau senior)

pour ton point sur : "inversement les garçons....."
je crois exactement que c'est pour cette raison que la lutte des femmes (malgré le bien qu'elles a apporter) devrait cesser. et qu'on devrait plutôt parler d'une lutte pour l'égalité des sexes
certaines choses se sont les femmes qui sont discriminer
d'autres choses se sont les hommes (je pense notamment à la garde des enfants lors de divorce)

merci traviata de m'avoir fait réaliser que je disais les choses comme si elles étaient des vérités absolus alors que se sont des opinions. j'adore avoir reçu un opinion de ta part patou
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par Lux
Femme de 37 ans non vierge
#42285
Lilith a écrit :Plusieurs différences existent entre le fonctionnement des cerveaux des deux sexes. C'est un fait qu'on peut retrouver dans n'importe quel livre de sciences qui traite sur le sujet... Tout d'abord, l'hypothalamus, qui est une partie essentielle du cerveau, contrôle la sécrétion d'hormones sexuelles. Les fonctions cognitives diffèrent selon un certain degré entre les deux sexes. Par exemple, le lobe frontal des femmes a une activité plus importante, ce qui joue dans leur manière de percevoir les émotions. Je dis tout ça de mémoire, mais si on cherchait plus, on pourrait développer la liste pendant des heures...EDIT: Je ne pense pas que les hormones soient contrôlées par la civilisation, je dirais plutôt que ce sont plutôt nos comportements.
http://genie.fr/cerveau-feminin-versus- ... -masculin/
C'est le serpent qui se mord la queue : à la naissance, le cerveau est une matière en puissance, qui va se développer en fonction de notre environnement et de notre apprentissage. Il est possible que le cerveau féminin soit différent du cerveau masculin, mais parce qu'il aura été stimulé d'une certaine manière par son environnement social. On incite les petites filles à exprimer leurs émotions, à pleurer ; on empêche les petits garçons de le faire. De là découlent probablement les différences qu'on prétend si naturelles.
Quasiment aucun scientifique ne sera capable de dire, en voyant un cerveau, s'il appartient à un homme ou à une femme. C'est assez révélateur, je crois.

Quant aux têtes pensantes des gender studies, je ne vois absolument pas en quoi elles auraient une dent contre les hommes, bien au contraire. Elles souhaitent pour les hommes comme pour les femmes une dépolarisation du genre, afin que chacun puisse se vivre viril ou féminin selon sa propre personnalité.
C'est également ce dont parle Despentes dans le très brillant King Kong Théorie : elle souligne le problème des hommes qu'on a absolument empêché d'exprimer leur part féminine et leur sensibilité. Un mec a le droit d'être fragile, de pleurer et de ne pas avoir envie de défendre sa petite amie...
A ne vraiment pas confondre avec certaines féministes type "chiennes de garde" pour qui tout homme est un prédateur et tout sous-entendu sexuel un viol collectif.
par Lilith
Femme de ans non vierge
#42286
Premier indice, un noyau particulier situé dans l’hypothalamus, une glande du cerveau reliée à l’hypophyse, un gros centre de production d’hormones. Comme chez tous les autres mammifères, ce noyau paraît sensiblement plus gros chez le mâle que chez la femelle.

Un bon indice ? Non. En effet, car nous sommes incapables de dire à quoi sert ce petit noyau et surtout, certaines femmes ont, comparativement, un noyau plus gros que certains hommes. En conclusion, si on étudie un cerveau seul, sans avoir aucun indice sur la personne auquel il appartient, il est impossible de dire s’il s’agit d’un cerveau masculin ou féminin à partir de ce seul indice. Ce qui est largement confirmé par l’imagerie cérébrale : sans indice préalable, on ne peut pas distinguer, sexuellement, deux cerveaux en activité.
La fonction de l'hypothalamus n'a rien à voir avec la grosseur ; ce sont plutôt les hormones qu'elles sécrètent qui sont importantes (plus précisément, il me semble que ce soit l'hypophyse). On ne niera pas que les taux différent complètement entre les hommes et les femmes...

Mon outil préféré pour ce genre de choses est Google Chrome, un site qui permet la publication de beaucoup d'études sérieuses sur tout plein de sujets.
- http://www.nature.com/nature/journal/v3 ... 607a0.html : on y trouve un article qui parle des différences de langage entre les deux sexes.
-http://neuro.cjb.net/content/19/10/4065.short : quelques différences sur les performances cognitives
- http://www.jstor.org/pss/20182264 : raconte comment les taux d'hormones peuvent influencer les habiletés cognitives

(j'ai juste mis les premiers liens qui sont apparus)

Après, l'environnement joue certainement un rôle. Impossible à nier. Mais on naît avec une certaine base qui fait en sorte que chaque être est génétiquement unique. Dépendamment de l'environnement dans lequel on grandit, on développe certaines facultés plus que d'autres, mais on ne peut pas dépasser certaines de nos limites. Et si aucun problème n'a été rencontré durant la conception, on naît femme ou homme. On ne peut pas dire que les différences sont uniquement physiques (seins, pénis, ovaires, etc), car de toute façon, tout doit former un équilibre et que ces fonctions physiologiques sont contrôlées par notre cerveau.

En ne voyant qu'une image d'un cerveau, on ne peut pas distinguer le sexe, mais c'est en portant attention à l'activité qu'on voit les différences. Par exemple, on sait que l'amygdale et l'hypothalamus ont des plus grandes activités (sur les images, on verrait plus de couleur) chez les hommes lorsqu'on leur montre des images à portée sexuelle. Bien sûr, tu me diras que c'est parce que l'homme est né dans une société où on lui a appris que c'était normal d'assumer son désir. Quelqu'un d'autre te sortira quelque chose sur l'évolutionnisme et pointera que cette forte activité était essentielle pour permettre la survie de l'espèce humaine dans les moments où elle était en danger. D'autant plus que les études sur le cerveau ne sont qu'à leurs débuts, il y a un tas de choses qu'on ignore encore sur la différence des sexes.
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par Leslyah
Femme de 47 ans vierge
#42289
Glaraque, ce que tu as écrit sur le sport au Québec m'intéresse grandement.
Si j'ai bien compris, les sports d'équipe sont pratiqués pour la plupart des jeunes (voire tous ?) dès leur plus jeune âge ?
Donc, j'aimerais savoir si, malgré cela, il y a les mêmes différences de comportements vis-à-vis des hommes et des femmes que celles que l'on a constatées dans ce topic depuis quelques posts.
glaraque a écrit :d'autres choses se sont les hommes (je pense notamment à la garde des enfants lors de divorce)
Ca, c'est bien vrai ! J'aimerais que les hommes aient autant de chances d'avoir la garde de leurs enfants que les femmes, d'autant que, inconsciemment, la garde donnée à la mère induit souvent qu'elle a le plus de temps que le père de s'en occuper. Sous-entendu, la femme peut faire aménager son travail (faux) et pas l'homme (faux aussi : c'est juste que c'est tellement peu courant que ça paraît bizarre).
glaraque a écrit :je crois exactement que c'est pour cette raison que la lutte des femmes (malgré le bien qu'elles a apporter) devrait cesser. et qu'on devrait plutôt parler d'une lutte pour l'égalité des sexes
Tout à fait d'accord ! Les discours sur "les hommes ceci, les hommes cela" m'insupportent, comme si les femmes étaient des blanches colombes !
Luttons effectivement pour avoir les mêmes droits. Et aussi avoir la liberté de choisir !
Un exemple : je suis pour le partage des taches... mais je déteste bricoler. Donc, si mon homme fantôme* passe la journée du samedi à tondre la pelouse, faire les peintures, etc, je ne vais pas râler le soir en disant "eh, chéri, t'as pas fait la vaisselle !"
En revanche, la semaine, on travaille tous les deux, donc je ne m'attélerai pas chaque soir à la popote pendant môsieur est sur le canapé... mais ça peut être un coup l'un, un coup l'autre. Le tout, c'est d'être clair dès le départ.
(*fantôme car inexistant pour le moment :D ).

Dernière remarque : ce qui a été dit sur le fait que, par influence anglo-saxonne, le Québecois peut construire ses phrases différemment du Français m'a permis de comprendre... pourquoi je ne comprenais pas certaines phrases de Glaraque (enfin, certains bouts de phrases) alors qu'elles étaient bien construites grammaticalement. :boulet:
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par Corsaire
Homme de 42 ans vierge
#42291
Nos aspirations, nos goûts, nos ressentis émotionnels, la manière dont on les gère, etc ont plus de chance d'être partagé avec quelqu'un du sexe opposé qu'avec quelqu'un du même sexe.

On pousse les deux genres à se comporter de façon prédéterminée, c'est un moyen de perpétuer un ordre social nauséabond, c'est un garant de stabilité en quelque sorte. Sortir de ce schéma fait peur (à certains).

L'enjeu: garder ou non le contrôle de la femme.

Le problème içi est primordial, il y a comme un renouveau du déterminisme au grand dam des scientifiques, de ceux qui restent objectifs et ne se laissent pas influencer par les pressions extérieures.
Je pense notamment aux USA (pour ne citer qu'eux) où ce renouveau reprends de la vigueur, la force des idées conservatrices tente de s'imposer dans le milieu scientifique. La femme doit être de préférence au foyer et doit avoir comme but ultime la procréation, rien d'autre. Ainsi on tente de prouver de façon désespérée par le biais de la science qu'il existe des différences dans le but de justifier ainsi la place de chacun dans la société. On ressort des vieux clichés tels que (pour n'en citer qu'un): "la femme sait moins bien s'orienter" et que "celà remonte à l'époque préhistorique" etc...ce qui est bien entendu ridicule et ne résiste pas aux études scientifiques.

On force dès le plus jeune âge et ce de façon plus ou moins consciente, les enfants à se comporter tel que l'on attends d'eux en fonction de leur sexe faisant fi de toute logique. Les enfants n'ont d'autre choix de l'accepter et de l'intégrer, de plus il ne faut pas négliger que de façon naturelle un enfant essayera très souvent de se conformer aux autres par crainte d'être rejeté.

Les pays scandinaves tentent de contrer celà dès le plus jeune âge, les petites filles font des ateliers de mécanique, on leur montre qu'elles peuvent se servir d'un marteau, d'un tournevis (par exemple) etc...et les petits garçon font d'autres ateliers où ils apprennent par exemple à gérer les conflits. Les résultats sont très prometteurs, les filles font preuve de courage et d'initiative, les garçons se comportent de façon calme et civilisé. Les clichés s'effondrent. Là où avant une fille était brimée si elle se montrait trop entreprenante ou si elle s'intéressait à des activités traditionnellement (et non rationnellement) réservé aux hommes, on va maintenant au contraire lui montrer que rien n'est impossible pour elle. Là où avant les petits garçons ne devaient pas montrer leurs émotions et gérer leurs conflits à coup de poing sous l'œil "compréhensifs" des adultes on va maintenant leur donner d'autres pistes pour gérer celà.
par Lilith
Femme de ans non vierge
#42293
Corsaire, je ne sais pas si tu comprends que les différences entre l'homme et la femme ne rendent pas l'homme (ou la femme, peu importe) supérieur... juste différents.
Corsaire a écrit :Je pense notamment aux USA (pour ne citer qu'eux) où ce renouveau reprends de la vigueur, la force des idées conservatrices tente de s'imposer dans le milieu scientifique.
Ce que tu dis n'est basé sur rien. D'autant plus que les féministes américaines ont beaucoup apporté à l'égalité des sexes. Faut aussi admettre que les USA sont pas mal plus avancés dans tout ce qui concerne sciences, socio, psycho...
Corsaire a écrit :La femme doit être de préférence au foyer et doit avoir comme but ultime la procréation, rien d'autre. Ainsi on tente de prouver de façon désespérée par le biais de la science qu'il existe des différences dans le but de justifier ainsi la place de chacun dans la société.
La science ne tente pas de limiter les femmes au foyer, mais je crois qu'elle essaie d'expliquer pourquoi et comment nous avons vécu aussi longtemps sous ces conditions. Et je tiens à dire qu'on continue d'agir de la sorte, c'est juste qu'on tend à moins s'en rendre compte... Personne n'a nié l'apport que la culture a pu avoir dans ces différences, mais ce serait dommage de vouloir se limiter à ça. Ce n'est pas uniquement la "science" (je crois que lorsque tu dis science, tu sous-entends biologie?) qui tient à justifier la place de chacun, c'est aussi un sujet récurrent en psycho et en socio, et tout ça ne s'arrête pas à mâle/femelle.
On force dès le plus jeune âge et ce de façon plus ou moins consciente, les enfants à se comporter tel que l'on attends d'eux en fonction de leur sexe faisant fi de toute logique.
Oui, mais avant que la culture se "mette à exister", quelque chose dans la nature humaine a poussé l'homme à entreprendre certaines tâches et la femme à s'adonner à des rôles différents. Et je pense que c'est ce que la science tente de comprendre.
Corsaire a écrit :Les pays scandinaves tentent de contrer celà dès le plus jeune âge, les petites filles font des ateliers de mécanique, on leur montre qu'elles peuvent se servir d'un marteau, d'un tournevis (par exemple) etc...et les petits garçon font d'autres ateliers où ils apprennent par exemple à gérer les conflits
Ça me fait penser à un couple canadien qui a décidé de ne révéler à personne, pas même au bébé en question, l'identité sexuelle de leur enfant. Ils veulent lui donner le choix de son orientation. L'enfant s'en sortira-t-il (elle?) sans séquelles...? !!! (http://abcnews.go.com/Health/baby-storm ... d=13693760 )

J'applaudis l'ambition des pays scandinaves et je suis certaine que ces ateliers influencent les aptitudes des deux sexes vers de différents horizons, mais je ne pense pas que cela changera significativement l'intérêt des femmes à manier des outils tel que le marteau. Et puis les conflits existent aussi chez les petites filles. La différence se trouve plus dans la façon de les aborder. Les petits gars ont plus tendance à les régler par la violence physique alors que les filles jouent sur l'aspect social (ex: rejeter le petit enfant qu'elles n'aiment pas). La culture et l'environnement ont leur part, mais je crois que les natures des deux sexes différent aussi sur d'autres points..
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