- 13 mai 2010, 13:03
#24505
D'autres sont passés sur ce forum en donnant aussi leur "méthode magique" :) .
Je me souviens d'un membre qui insistait sur la multiplication des rencontres par internet parce que c'est cet outil là qu'il avait utilisé et qui avait fonctionné pour lui.
Mais ce qui fait que ta méthode a réussit, ce qu'il y a eu initialement un déclic en toi qui a fait que tu es devenu réellement ouvert à une rencontre.
Quand je regarde autour de moi les personnes qui sont en couple voire qui ont créé une famille, peu se sont comportés comme tu le dis.
Il y en a qui ne mettaient jamais les pieds en boite, ne sortaient pas énormément, n'attachaient pas beaucoup d'importance à leur apparence, ne draguaient pas tout ce qui bouge, etc. mais ils étaient néanmoins ouverts à la relation.
C'est un processus assez naturel qui pour des raisons diverse, est bloqué pour beaucoup de membres de ce forum.
La plante ne pousse pas ou très très lentement et tant que cette situation perdurera le tuteur ne servira à rien.
Le déclic qui permet de débloquer la situation n'est pas évident à trouver.
En général, un évènement imprévu, parfois douloureux au début, peut provoquer ce changement en nous remettant en cause en profondeur et en étant assez violent pour nous permettre de contrer la force d'inertie qui nous empêche de changer.
D'autres fois, cela peut survenir spontanément. Le fruit est arrivé à maturité.
Je ne crois pas en un quelconque inconscient qui serait "pour fort que soi" et qui nous empêcherait de changer mais les attaches qui nous bloquent, bien que superficielles, peuvent être très complexes et résistantes. Mais tout le monde à ce genre d'attaches, les gens "normaux" plus que les autres.
Papillon a écrit :On est bien d'accord mais ce qu'il faut comprendre c'est que ce n'est pas ta "recette de cuisine" qui t'a fait changé, ça a été ton outil. Ce n'est pas le tuteur qui fait pousser la plante, il lui donne seulement une certaine direction.Pour moi on est ce que l'on fait donc tu ne peux pas prétendre être resté le même et avoir changé d'apparence.Oui tu as raison. Mais ça n'a pas joué sur ma sensibilité ou tout ça. Mais plutôt sur ma confiance, mon assurance.
D'autres sont passés sur ce forum en donnant aussi leur "méthode magique" :) .
Je me souviens d'un membre qui insistait sur la multiplication des rencontres par internet parce que c'est cet outil là qu'il avait utilisé et qui avait fonctionné pour lui.
Mais ce qui fait que ta méthode a réussit, ce qu'il y a eu initialement un déclic en toi qui a fait que tu es devenu réellement ouvert à une rencontre.
Quand je regarde autour de moi les personnes qui sont en couple voire qui ont créé une famille, peu se sont comportés comme tu le dis.
Il y en a qui ne mettaient jamais les pieds en boite, ne sortaient pas énormément, n'attachaient pas beaucoup d'importance à leur apparence, ne draguaient pas tout ce qui bouge, etc. mais ils étaient néanmoins ouverts à la relation.
C'est un processus assez naturel qui pour des raisons diverse, est bloqué pour beaucoup de membres de ce forum.
La plante ne pousse pas ou très très lentement et tant que cette situation perdurera le tuteur ne servira à rien.
Le déclic qui permet de débloquer la situation n'est pas évident à trouver.
En général, un évènement imprévu, parfois douloureux au début, peut provoquer ce changement en nous remettant en cause en profondeur et en étant assez violent pour nous permettre de contrer la force d'inertie qui nous empêche de changer.
D'autres fois, cela peut survenir spontanément. Le fruit est arrivé à maturité.
Je ne crois pas en un quelconque inconscient qui serait "pour fort que soi" et qui nous empêcherait de changer mais les attaches qui nous bloquent, bien que superficielles, peuvent être très complexes et résistantes. Mais tout le monde à ce genre d'attaches, les gens "normaux" plus que les autres.
shabif56
«Rien de ce qui est humain ne m'est étranger » (Terence)
«Nul n'est plus que soi-même étranger à soi-même » (Nietzsche)
«Rien de ce qui est humain ne m'est étranger » (Terence)
«Nul n'est plus que soi-même étranger à soi-même » (Nietzsche)