- 01 déc. 2015, 00:45
#162154
( Je ne dis pas que cela va fonctionner tout le temps.)
Quand j'étais en cinquième il y avait une espèce de grosse brute qui terrorisait tout le monde.
En travaux manuels, il s'en était pris à moi. Il avait mis de la colle sur mes lunettes et ne voulait plus me les rendre. (j'ai appris quelques années après qu'il était mort dans un accident de voiture, je ne sais si c'est vrai mais je ne l'ai jamais revu). Une autre fois, quand j'étais à l'école primaire, deux gosses qui n'étaient pas dans ma classe m'ont roué de coups à la sortie de l'école, je ne sais plus pourquoi. Je me souviens qu'une mère de famille qui habitait à côté de chez moi m'avait ramené. Une autre fois un autre gosse hors école m'avait mis un coup de poing dans le plexus solaire. A l'école, je n'étais pas harcelé, je crois, mais l'été j'allais dans les centres de vacances de ma ville (j' y suis allé de 6 ans à 15 ans) et je dégustais par contre. Pas trop de coups, si je me souviens bien, mais des moqueries et les problèmes avec les petits caïds qui te terrorisent. J'avais des amis cependant.
J'ai déjà raconté les harcèlements que je voyais dans le collège où j'étais scolarisé.
En sixième, quelques fois, au cours d'éducation physique les mains sur les fesses des filles (non, je n'y participais pas). Des filles qui se faisaient peloter dans les couloirs.
Je ne disais rien (on ne m'a pas appris à savoir quoi faire en face de ce type de situation quand j'étais enfant bien que je savais que ce n'était pas bien). Je me souviens de deux filles qui s'en prenaient à un gosse (nous étions tous dans la même classe), toujours du harcèlement.
Non pas tousDonc ce n'est pas un si mauvais conseil que cela de dire clairement, fermement et calmement à un homme qui vous importune de vous laisser tranquille?
( Je ne dis pas que cela va fonctionner tout le temps.)
Un exemple à mon niveau : tu t'es déjà fait bolosser à l'école ?Ne m'en parle pas.
La grosse brute qui vient t'ennuyer alors que tu n'as rien demandé ?
Quand j'étais en cinquième il y avait une espèce de grosse brute qui terrorisait tout le monde.
En travaux manuels, il s'en était pris à moi. Il avait mis de la colle sur mes lunettes et ne voulait plus me les rendre. (j'ai appris quelques années après qu'il était mort dans un accident de voiture, je ne sais si c'est vrai mais je ne l'ai jamais revu). Une autre fois, quand j'étais à l'école primaire, deux gosses qui n'étaient pas dans ma classe m'ont roué de coups à la sortie de l'école, je ne sais plus pourquoi. Je me souviens qu'une mère de famille qui habitait à côté de chez moi m'avait ramené. Une autre fois un autre gosse hors école m'avait mis un coup de poing dans le plexus solaire. A l'école, je n'étais pas harcelé, je crois, mais l'été j'allais dans les centres de vacances de ma ville (j' y suis allé de 6 ans à 15 ans) et je dégustais par contre. Pas trop de coups, si je me souviens bien, mais des moqueries et les problèmes avec les petits caïds qui te terrorisent. J'avais des amis cependant.
J'ai déjà raconté les harcèlements que je voyais dans le collège où j'étais scolarisé.
En sixième, quelques fois, au cours d'éducation physique les mains sur les fesses des filles (non, je n'y participais pas). Des filles qui se faisaient peloter dans les couloirs.
Je ne disais rien (on ne m'a pas appris à savoir quoi faire en face de ce type de situation quand j'étais enfant bien que je savais que ce n'était pas bien). Je me souviens de deux filles qui s'en prenaient à un gosse (nous étions tous dans la même classe), toujours du harcèlement.
Tout ce que tu feras sera dérisoire, mais il est essentiel que tu le fasses.
Il n'y a que trois choses que l'on puisse faire avec une femme [...]. On peut l'aimer, souffrir pour elle ou en faire de la littérature.
Il n'y a que trois choses que l'on puisse faire avec une femme [...]. On peut l'aimer, souffrir pour elle ou en faire de la littérature.