- 02 nov. 2017, 10:26
#204024
Concernant mon moi personnel, c'est un mixe : au début d'une période sans sexe ça me manque de plus en plus, et une fois un certains point atteint (3 - 4 semaines), pouf! plus envie. Et ça revient que quand il y a un garçon pour relancer l'envie en question, que ce soit 3 mois ou 3 an plus tard. Hibernation power !
impala a écrit :L'avis que je me suis fait sur le sujet en discutant au fil des années avec les copains-copines, c'est que côté fille, moins on pratique le sexe, et moins on en a envie, alors que côté garçon, c'est l'inverse.jimagine a écrit : Sinon, je suis assez étonné du fait qu'elle n'ait pas eu d'envie sexuelle jusqu'à 27 ans : "Ce qui m’a le plus manqué, ce n’est pas forcément le sexe, je ne me masturbais même pas."Franchement, je ne sais pas du tout te répondre pour les autres femmes, mais en ce qui me concerne, je n'ai jamais eu d'envie sexuelle très forte. Comme à elle, le sexe ne me manquait pas vraiment. Attention car à cette question, je ne pense pas que tu aies sur le forum des réponses suffisamment représentatives de la population générale .
Est-ce plus courant que je ne le pense ? Ce détachement vis-à-vis du besoin sexuel est-il dû au fait qu'elle soit une femme ? Dans quelle mesure ? (On m'a déjà répondu ici, sur le forum, que cette idée était fausse que les femmes ont des envies de sexe aussi fortes que les hommes, mais à la lecture de ce témoignage, je me pose encore cette question...)
Concernant mon moi personnel, c'est un mixe : au début d'une période sans sexe ça me manque de plus en plus, et une fois un certains point atteint (3 - 4 semaines), pouf! plus envie. Et ça revient que quand il y a un garçon pour relancer l'envie en question, que ce soit 3 mois ou 3 an plus tard. Hibernation power !
Hyperion a écrit :J'ai lu l'article. Il était intéressant et je trouve par contre que ça fait un peu conte de fée, dans la résolution des problèmes.J'ai trouvé aussi. Du coup au lieu d'une article sur la VT, j'ai plutôt choisis de prendre cet article comme une proposition de dé-sacraliser la première fois et d'inviter les filles à oser le faire avec quelqu'un de sympa, sans attendre "le prince charmant". C'est vrai que la culture/l'éducation populaire nous apprend ça : attendre "le bon" pour coucher, ne pas se jeter dans les bras (draps) du premier venu qui nous plait, être sûr de son "investissement"...
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