- 06 avr. 2012, 17:37
#52750
Même en étant parfaitement "réglo" , en prenant sa pilule avec régularité il y a un taux d'échec non négligeable. Le plus efficace est peut-être l'implant parce qu'il n'y a pas de risque d'oubli, de vomissements...
mais pas à 100% non plus. J'ai fait moi-même l'expérience de l'échec du stérilet qui de toute façon est déconseillé quand on n'a pas eu d'enfant.
Donc il ne faut pas réagir d'emblée en pensant à une manipulation, à un abus. Dans ce domaine il fait une très grande confiance, et beaucoup de dialogue. Toute fille qui se retrouve enceinte ne vous a pas forcément fait "un enfant dans le dos".
Ctsubasa ce n'est pas simple comme situation. C'est par principe moral qu'elle ne veut pas entendre parler d'IVG ? Personnellement, j'étais contre aussi, estimant qu'on doit assumer ses responsabilités en amont, par la contraception, mais quand je me suis retrouvée enceinte de mon quatrième à 44 ans alors que la dernière avait déjà 5 ans, j'ai considéré que c'était de l'inconscience. Et j'ai accepté l'IVG même si je l'ai très mal vécu.
Il y a des services où elle aura un appui à la fois sur le plan gynécologique, et sur le plan psychologique. Et le plus tôt est le mieux, quand on peut encore le faire par médicaments, la portée du geste est tout de même un peu moindre que lorsqu'il faut recourir à une intervention chirurgicale.
Bon courage.
Dio, dammi l'umiltà di accettare le cose che non posso cambiare, il coraggio di cambiare le cose che posso cambiare, e l'intelligenza sufficiente per distinguere i due tipi di cose. S. Francesco di Assisi