- 11 avr. 2015, 10:19
#141088
Bonjour.
Si vous voulez quelques éléments de background, vous pouvez aller voir http://forum.virginite-tardive.fr/prese ... c4748.html, mais ce n'est pas vraiment nécessaire. Pour faire bref, je n'ai au début de cette histoire pas eu le moindre contact physique avec une fille depuis environ cinq ans.
Je vois venir mes 26 ans approcher. Or voilà que j'ai quelques jours de congés payés à utiliser, et que je trouve un vol pas cher pour Barcelone à ces dates. Je réserve. Lorsque ces vacances arrivent, je suis passablement en manque de tendresse. Cela ramène à mon esprit une idée que j'avais eu en me voyant menacé par mes 25 ans, d'envisager aller voir une prostituée afin de perdre ma virginité et pallier ce besoin de tendresse.
A savoir que je n'ai rien contre l'activité de prostitution, mais qu'il faut que ce soit un choix libre de la dame en question : pas de maquereau parce que ça par contre je condamne fermement, et pas de prostituée de rue car trop de probabilité que sa présence soit due à un fort besoin financier (+ un certain manque de glamour).
Mais arrivé à Barcelone, j'apprends que les maisons closes y sont légales. Je passe quelques jours à me renseigner sur internet pour voir comment ça marche, et je me demande si c'est une bonne idée (c'est à cette occasion que je découvre ce forum). J'ai de moins en moins envie d'atteindre 26 ans puceau. Et comme les prestations semblent convenir à ce que je souhaite (pas glauque, régi comme une entreprise quelconque, travail volontaire...), je me fais à l'idée, et en viens à prévoir que je m'en voudrais si je repars de Barcelone sans avoir eu le courage de le faire. Car si je ne suis toujours pas sûr s'il s'agit d'une bonne idée, cependant rien ne m'a convaincu qu'elle était mauvaise...
La veille de mon retour, je prend le métro direstion l'arrêt Les Corts (à prononcer à l'espagnol pour voir l'humour dans le fait de placer une maison close par là). Le trajet est d'une demie-heure environ. Mon coeur cavale et ma gorge se déssèche au long du trajet. Celui-ci étant plus long que prévu, je vérifie à quelle heure passent les derniers métros pour le retour... minuit, alors que je pensais une heure. Je commence à me rattacher à cet élément à utiliser comme prétexte pour prendre la fuite ("c'est un quartier perdu, je ne trouverais pas de taxi à cette heure-là... et puis je vais déjà lâcher une liasse si j'y vais, je vais pa en plus payer un taxi !")... Je sors quand même de la station et me dirige vers l'adresse retenue. Il s'agit d'un quartier résidentiel, pas d'un quartier chaud. Je marche délibérément sur le mauvais trottoir, jette des coups d'oeil furtifs pour repérer le 42 sans avoir l'air d'un mec bizarre. La porte, comme je le savais déjà, est anonyme. Je dépasse de cinquante mètre, fait demi-tour en me plaçant sur le bon trottoir.
Plus je me rapproche, plus décidément ce serait trop galère pour rentrer à l'hôtel ensuite, et j'ai déjà marché d'un bout à l'autre de la ville durant la journée, pas question que je marche.
Je re-dépasse la porte. Je continue vers le métro et rentre dormir. Je vérifie avant de me coucher cependant que c'est ouvert également en journée, et me pose donc un ultimatum à moi-même pour le lendemain matin. Sinon cela signifierait que je ne suis qu'un couard, puisque je n'ai pas de raison de ne pas y aller !
Le lendemain matin, dès mon réveil je suis tendu. Après ma toilette et le petit-déjeuner, je sors prendre le métro. Il est aussi un peu tard, il faut quand même que je sois de retour à l'hôtel pour finir d'empaqueter et quitter la chambre avant midi... (en vrai cela me laisse 2h sur place). Malgré toutes mes lectures de ces derniers jours, je suis encore passablement dans le flou quant à ce que je vais trouver là-bas. En approchant de la destination, je me force à calmer mon anxiété. Le fait de savoir où je me dirige aide. Je sors de la station, et m'engage dans la rue du côté des numéros pairs...
(à suivre)
Si vous voulez quelques éléments de background, vous pouvez aller voir http://forum.virginite-tardive.fr/prese ... c4748.html, mais ce n'est pas vraiment nécessaire. Pour faire bref, je n'ai au début de cette histoire pas eu le moindre contact physique avec une fille depuis environ cinq ans.
Je vois venir mes 26 ans approcher. Or voilà que j'ai quelques jours de congés payés à utiliser, et que je trouve un vol pas cher pour Barcelone à ces dates. Je réserve. Lorsque ces vacances arrivent, je suis passablement en manque de tendresse. Cela ramène à mon esprit une idée que j'avais eu en me voyant menacé par mes 25 ans, d'envisager aller voir une prostituée afin de perdre ma virginité et pallier ce besoin de tendresse.
A savoir que je n'ai rien contre l'activité de prostitution, mais qu'il faut que ce soit un choix libre de la dame en question : pas de maquereau parce que ça par contre je condamne fermement, et pas de prostituée de rue car trop de probabilité que sa présence soit due à un fort besoin financier (+ un certain manque de glamour).
Mais arrivé à Barcelone, j'apprends que les maisons closes y sont légales. Je passe quelques jours à me renseigner sur internet pour voir comment ça marche, et je me demande si c'est une bonne idée (c'est à cette occasion que je découvre ce forum). J'ai de moins en moins envie d'atteindre 26 ans puceau. Et comme les prestations semblent convenir à ce que je souhaite (pas glauque, régi comme une entreprise quelconque, travail volontaire...), je me fais à l'idée, et en viens à prévoir que je m'en voudrais si je repars de Barcelone sans avoir eu le courage de le faire. Car si je ne suis toujours pas sûr s'il s'agit d'une bonne idée, cependant rien ne m'a convaincu qu'elle était mauvaise...
La veille de mon retour, je prend le métro direstion l'arrêt Les Corts (à prononcer à l'espagnol pour voir l'humour dans le fait de placer une maison close par là). Le trajet est d'une demie-heure environ. Mon coeur cavale et ma gorge se déssèche au long du trajet. Celui-ci étant plus long que prévu, je vérifie à quelle heure passent les derniers métros pour le retour... minuit, alors que je pensais une heure. Je commence à me rattacher à cet élément à utiliser comme prétexte pour prendre la fuite ("c'est un quartier perdu, je ne trouverais pas de taxi à cette heure-là... et puis je vais déjà lâcher une liasse si j'y vais, je vais pa en plus payer un taxi !")... Je sors quand même de la station et me dirige vers l'adresse retenue. Il s'agit d'un quartier résidentiel, pas d'un quartier chaud. Je marche délibérément sur le mauvais trottoir, jette des coups d'oeil furtifs pour repérer le 42 sans avoir l'air d'un mec bizarre. La porte, comme je le savais déjà, est anonyme. Je dépasse de cinquante mètre, fait demi-tour en me plaçant sur le bon trottoir.
Plus je me rapproche, plus décidément ce serait trop galère pour rentrer à l'hôtel ensuite, et j'ai déjà marché d'un bout à l'autre de la ville durant la journée, pas question que je marche.
Je re-dépasse la porte. Je continue vers le métro et rentre dormir. Je vérifie avant de me coucher cependant que c'est ouvert également en journée, et me pose donc un ultimatum à moi-même pour le lendemain matin. Sinon cela signifierait que je ne suis qu'un couard, puisque je n'ai pas de raison de ne pas y aller !
Le lendemain matin, dès mon réveil je suis tendu. Après ma toilette et le petit-déjeuner, je sors prendre le métro. Il est aussi un peu tard, il faut quand même que je sois de retour à l'hôtel pour finir d'empaqueter et quitter la chambre avant midi... (en vrai cela me laisse 2h sur place). Malgré toutes mes lectures de ces derniers jours, je suis encore passablement dans le flou quant à ce que je vais trouver là-bas. En approchant de la destination, je me force à calmer mon anxiété. Le fait de savoir où je me dirige aide. Je sors de la station, et m'engage dans la rue du côté des numéros pairs...
(à suivre)